Cher lecteur,
Voici un petit tour d’horizon de l’actualité de notre portefeuille pour votre dernière alerte de l’année.
Stellantis (NL00150001Q9 – STLA) a du mal à rebondir. Pourtant, le constructeur automobile multiplie les acquisitions de qualité, comme celle d’aiMotive, développeur majeur de software de conduite autonome et de systèmes d’intelligence artificielle avancés. La société devient de plus en plus une tech company, ce qui me conforte dans mon raisonnement : l’automobile devient bien un produit tech et de luxe. Or, la combinaison de ces deux données devrait offrir à l’action des ratios boursiers autres que les ratios actuels. Un PER inférieur à 3 sur Stellantis n’a aucun sens… J’appliquerai, en étant conservateur, un multiple de six soit un cours cible de 30 €… Vous le voyez, il y a un potentiel gigantesque sur la valeur. Conservez.
Walt Disney (US2546871060 – DIS) reste sous pression, suite à la déception Avatar. Le film n’a engrangé que 100 M$ de recettes lors de son premier week-end de lancement, contre une estimation initiale de 170 M$. Le titre reste proche de ses plus bas depuis un an, et perd plus de 60% par rapport à son sommet de début mai 2021… C’est beaucoup trop et il faut rester positif sur le dossier. Conservez.
Nous sommes en légère plus-value sur la Société Générale (FR0000130809 – GLE) qui vient de terminer son programme d’achat d’actions avec une annulation pour 914,1 M€. Conservez.
Enfin, Microsoft (US5949181045 – MSFT) tente de calmer le jeu dans le dossier Activision en indiquant que le rachat profiterait à l’ensemble de la filière des jeux. Rappelons que ce rachat de 69 Mds$ annoncé il y a quasiment un an, a été bloqué en début de mois par le gendarme américain de la concurrence. Le feuilleton ne fait que commencer et nous restons positifs sur Microsoft. Conservez.
PS : je vais prendre quelques jours de vacances et serai de retour le 9 janvier. Vous ne recevrez donc aucune alerte de ma part avant cette date, sauf évènement majeur. Je vous souhaite à tous d’excellentes fêtes de fin d’année.
Amicalement,
Eric Lewin