J’espère que vous vous portez bien alors que le déconfinement se rapproche. Les contours de ce processus extrêmement périlleux se sont précisés, mais la réalité de la menace d’une deuxième vague plaide pour la plus grande prudence. La responsabilité de chacun est en jeu…
Période de publications oblige, l’actualité est assez dense concernant les lignes que nous détenons en portefeuille. Parmi elles, ARTEFACT (FR0000079683-ALATF), dont l’exercice 2019 s’est sans surprise révélé décevant, avec une perte nette multipliée par 15 à 15,1 M€. Le spécialiste du marketing autour de la data et de l’intelligence artificielle a, il est vrai, dû déprécier massivement ses actifs dans les pays nordiques.
Du côté des matières premières, nous nous sommes délestés la semaine dernière de la moitié de notre position sur le certificat or GOLD LEVOPENZ (DE000CL1GLN7-GO5LZ) autour de 18 €, d’où une plus-value de l’ordre de 30%. L’once de métal fin cotait alors environ 1 720 $ et si elle a fait l’objet de quelques prises de bénéfices depuis – aucun actif ne monte en ligne droite, surtout par les temps qui courent ! -, notre conviction « de fond » reste inchangée : la relique barbare peut aller « chercher » les 2 000 $ l’once à moyen terme.
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Un certain nombre de dossiers pourraient tirer leur épingle du jeu à brève échéance. Parmi eux, ce qu’on appelle dans le jargon des « penny stocks », c’est-à-dire des sociétés qui cotent entre quelques euros et 5 € maximum et dont l’action peut soudainement grimper en intraday. Ce sont ces profils que je recherche dans un autre de mes services, Penny Stocks Winners, avec historiquement, sans prétention, une bonne réussite.
Pour ce qui me concerne, l’actualité intense autour des marchés m’occupe bien et je suis notamment de près l’évolution des cours de l’or.
Si comme moi vous lorgnez la relique barbare (c’est le cas depuis des mois dans ce service !), il ne vous aura pas échappé qu’après avoir culminé à 1 704 $ le 8 mars, le cours de l’once a ensuite reflué, jusqu’à atteindre les 1 450 $ une semaine plus tard. « Aspiré » comme tous les autres actifs par la nécessité pour les investisseurs de disposer d’un maximum de cash, l’or a toutefois rebondi depuis, au point de revenir sur des niveaux de 1 700 $ lundi dernier.
La journée a bien débuté sur les marchés actions, avec des investisseurs manifestement rassurés par l’allant de la FED, décidée à mettre le paquet pour atténuer les conséquences économiques et financières de la pandémie de coronavirus.
Autre bonne nouvelle : l’or repart de l’avant, l’once se rapprochant des 1 600 $, soutenu précisément par les massifs rachats d’actifs qu’entend réaliser la Réserve fédérale américaine.
Le coronavirus « écrase » tout et effraie le monde entier. Je ne développerai pas ses répercussions sanitaires, en perpétuelle évolution et dont chacun mesure désormais la gravité. Quant à ses conséquences économiques et financières, elles sont multiples et il est trop tôt là aussi pour les évaluer.
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Le repli se poursuit sur les marchés actions, avec un CAC40 qui abandonnait encore 0,8 % environ à deux heures de la cloche, au lendemain d’une séance particulièrement éprouvante (l’indice vedette de la Bourse de Paris avait décroché de près de 4%).
Sans surprise, les marchés actions accusent le coup en ce début de semaine. La propagation du coronavirus, avec de nombreux cas recensés en Corée du Sud, mais aussi en Italie (où plusieurs communes ont été placées en quarantaine et où l’inquiétude est d’autant plus vive qu’un certain nombre de cas n’ont eu aucun contact avec des ressortissants chinois) et en Iran, inquiète fortement les investisseurs.
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Les plus-values continuent sur notre portefeuille, avec les cessions – certes un peu tôt étant donné la spectaculaire envolée du titre ces deux derniers jours – d’EUROBIO SCIENTIFIC (FR0013240934-ALERS) mardi dernier et de MCPHY ENERGY (FR0011742329-MCPHY) hier.
Encore une bonne nouvelle pour notre portefeuille ! L’ordre de vente à 5,40 € que nous avions fixé sur le solde d’EUROBIO SCIENTIFIC (FR0013240934-ALERS) a en effet été déclenché en début de matinée. Sachant que nous étions entrés à 4,67 € en décembre 2017 et avions cédé la moitié de la ligne (laquelle représentait originellement 6% de nos encours) à 5,15 €, notre gain moyen s’élève à 13% ici.
L’ordre de vente que nous avions fixé à 39,50 € sur KAUFMAN & BROAD (FR0004007813-KOF) a été déclenché avant-hier. Alors que nous étions entrés sur des niveaux de 35,60 € en juillet dernier, il en découle une plus-value de près de 11% sur le promoteur immobilier, la cinquième depuis le début de l’année après celles réalisées, dans l’ordre chronologique, sur LNA Santé (+9%), la moitié d’EUROBIO SCIENTIFIC (FR0013240934-ALERS) (+10%), le solde d’Infotel (+12%) et la moitié de La Française de l’Energie (+11%).
Après une semaine chahutée sur les marchés actions, rares sont les sociétés qui ont réussi à tirer leur épingle du jeu. Il s’en trouve tout de même quelques-unes parmi lesquelles LA FRANCAISE DE L’ENERGIE (FR0013030152-LFDE), dont le titre a franchi les 20 € jeudi.