Cher Lecteur,
Cette semaine, Donald Trump a tenté de prendre en otage les marchés financiers en annonçant la fin des négociations d’un nouveau plan de relance de l’économie américaine.
En effet, Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants demandait 2 200 Mds$ à l’administration Trump pour aider certains Etats américains en grande difficulté.
Trump a immédiatement rejeté toute négociation mardi (après être sorti de quarantaine), et a déclaré que les négociations reprendraient après les élections américaines et, qu’une fois élu, il ferait passer un plan de relance massif pour aider les petites entreprises et les travailleurs américains.
Joe Biden (principal opposant à Trump aux élections présidentielles US) a immédiatement sauté sur cette affaire pour taper sur Trump. Biden accuse notamment Trump de tourner le dos aux Américains et a exprimé dans un communiqué : « Si votre entreprise est fermée, si l’école de votre enfant est fermée, si vous voyez des licenciements autour de vous, Donald Trump a décidé aujourd’hui que rien de tout cela, absolument rien, ne lui importait. »
Quelques heures plus tard, Trump réagit sur Twitter et se montre ouvert à de nouveaux compromis. Il indique être prêt à signer un accord permettant de donner des subventions aux petites entreprises et un chèque de 1 200 $ aux Américains.
« Je suis prêt à signer tout de suite. Vous m’entendez Nancy ? » a déclaré le président Trump sur Twitter dans ce qui semble être une véritable pièce de théâtre.
Les marchés, quant à eux, en profitent pour s’apprécier et les indices boursiers progressent à la hausse, anticipant très probablement un accord prochain (même moindre) qui viendrait soutenir la consommation des ménages et des entreprises.
Les Etats-Unis arriveront-ils à injecter suffisamment d’argent dans l’économie américaine pour sauver les meubles ? Ou les guerres intestines finiront-elles par ronger cette puissance économique mondiale ?
Notre opinion ici est que ça ne peut pas durer éternellement. La sortie de crise n’est pas actée et elle est loin d’être terminée. Notre Stratégie B.E.A.R. est désormais fin prête à être utilisée à tout moment.
Je vous invite à la télécharger dès à présent. Notez bien que nous ne la déclencherons que quand le moment sera venu. Ne passez surtout pas ces trades maintenant !
Nous avons également le plaisir de vous offrir le kit anti-crise du Delamarche en liberté. Il s’agit de la stratégie défensive qu’Olivier développe dans sa lettre macro.
L’allocation d’actifs de la lettre macro vous donne les grandes lignes des catégories d’actifs qu’Olivier privilégie pour ne pas se retrouver dépossédé par les Etats et les banquiers quand l’heure sera venue. C’est une stratégie défensive contre la crise qui vient.
En fait, les deux services se complètent plutôt qu’ils ne s’opposent. Si le Delamarche en liberté vous donne une idée pour votre fonds de portefeuille, le Delamarche Trading Club peut représenter la part active de celui-ci, la part plus risquée et celle qui peut rapporter le plus.
En termes de money management, il convient de ne pas attribuer plus de 30 % de votre capital au Delamarche Trading Club. Cela correspond à la part de cash qu’Olivier conseille de conserver de côté pour viser des opportunités.
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