Ni les prises de bénéfices sur Goldman Sachs et Bank of America (qui ouvraient toutes deux dans le rouge après leurs trimestriels respectifs), le reflux du baril (après les stocks hebdomadaires tout à l'heure), ou même encore les commentaires du secrétaire américain au Trésor (selon qui les Etats-Unis maintiendraient les droits de douane sur les produits chinois jusqu'à l'achèvement de la "phase 2") ne semblent suffisants pour susciter les moindres prises de bénéfices.