Si vous êtes abonné à la lettre Mes Valeurs de Croissance, vous avez dû remarquer que la semaine dernière j’ai intitulé mon éditorial « La folie des OPA », mais j’appliquais ce message aux petites et moyennes capitalisations avec de nombreuses opérations durant l’été.
Pour tout vous dire, j’avais du mal à imaginer que les grosses capitalisations connaîtraient également une poussée de fièvre dans la mesure où les deals de grande envergure sont souvent longs à monter et souvent assez destructeurs de valeur, du moins dans un premier temps.