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10%-15%

Par 28 janvier 2020Alertes

« Mieux vaut goujat debout qu’empereur enterré. »

– Jean de La Fontaine

 

Chère Lectrice, cher Lecteur,

00:00 On assiste à une petite tentative de rebond sur les marchés, après les séances difficiles de ces derniers jours… mais la situation reste tendue – et deux secteurs sont plus particulièrement concernés, comme l’explique Eric Lewin dans MicroCaps Fortune :

« Les marchés actions pourraient bien être entrés dans une phase de consolidation voire de repli, alors que l’épidémie de coronavirus se propage, avec désormais, de l’aveu de l’OMS, une menace ‘élevée’ à l’international. Il en découle de fortes incertitudes sur l’économie chinoise et, par extension, sur l’économie mondiale.

D’ores et déjà, les secteurs du luxe, du tourisme et de l’aéronautique sont malmenés et dans ce contexte, l’or tient parfaitement son rang de valeur refuge et tire son épingle du jeu.

De leur côté, les taux longs ont repris une trajectoire baissière, le 10 ans allemand étant par exemple passé de -0,3 à -0,38%, et plus les taux réels sont bas, plus il est intéressant de détenir de la relique barbare. Voilà pourquoi notre stratégie sur les métaux précieux demeure inchangée à ce stade […].

Nous demeurons haussiers avec des objectifs sur les cours de l’or et de l’argent de respectivement 1 650 $ et 19,60 $ l’once.« 

Oui, les temps semblent de plus en plus favorables à ces bonnes vieilles valeurs refuges – qu’elles soient parfaitement traditionnelles, comme l’or, ou un peu moins, comme les cryptomonnaies.

00:45 Pour rappel : nous ne sommes pas en train de recommander de sortir tous vos actifs de leurs positions actuelles pour les réinvestir intégralement dans des lingots d’or.

La plupart de nos spécialistes considèrent que 10%-15% de votre patrimoine est une allocation raisonnable, peut-être un peu plus en cas de crise déclarée… mais nous n’y sommes pas encore et, quand ce sera le cas, nous serons là pour vous accompagner et vous aider à adapter votre portefeuille.

Je rappelle aussi que l’or est avant tout une « assurance » pour votre argent : une réserve de valeur, un moyen de vous protéger, une méthode de fond pour vous mettre à l’abri des manipulations boursières et monétaires des banques centrales et des autorités.

Si vous préférez une optique plus spéculative, c’est tout à fait différent : dans ce cas, il y a les minières – qui ouvrent des opportunités parfois spectaculaires, comme vous l’explique encore Eric juste ici.

01:30 Cette petite mise au point me semblait importante, parce que les signes d’épuisement commencent tout de même à s’accumuler sur les marchés – et dans le reste de l’économie. Préparez-vous au minimum à une continuation du reflux actuel…

… Et peut-être à pire car, comme l’explique Bruno Bertez dans La Chronique Agora, le système actuel est devenu contre nature : une « pyramide à l’envers » dont l’équilibre est de plus en plus instable, maintenu par des politiques toujours plus acrobatiques :

« On ne peut plus arrêter et on ira jusqu’au bout – parce que l’on a atteint le dernier retranchement, le Centre.

Derrière, dans l’état actuel des institutions, il n’y a pas d’autre dernier ressort. Il faut faire avec celui que l’on a et aller jusqu’au bout de sa solidité, de sa force. Jusqu’au bout de la confiance qu’il inspire. Il faut épuiser le capital confiance de l’empereur-dollar.

Plus la pyramide monte, plus la masse des valeurs d’actifs progresse, plus le système devient instable, fragile – moins on peut supporter d’alertes, moins on peut supporter de corrections… et donc plus il faut solliciter la pointe en bas de la pyramide : le dollar. »

Oui, le billet vert et les Etats-Unis – quoi qu’en dise M. Trump – sont un géant aux pieds d’argile… et le dollar ne restera peut-être pas devise de réserve mondiale pendant bien longtemps encore : un retournement de situation qu’il vaut mieux anticiper que subir !

(Et vous trouverez en cliquant ici une stratégie simple et efficace pour vous couvrir, au passage…).

02:00 Bon, me direz-vous, 10% à 15% dans l’or, c’est très bien, mais qu’est-ce que je fais des 85%-90% restants ?

Eh bien, pour ce qui est du compartiment « actions » de votre patrimoine, voici une méthode qui vous permettra de résoudre l’éternel problème du timing boursier : quand entrer et quand sortir d’une position afin de maximiser vos chances de gain ?

Zach Scheidt revient sur une stratégie éprouvée, qui peut vous aider à « lisser » votre prise de risque tout en profitant au maximum des périodes de hausse. Il explique cela dans Investissements Personnels :

« L’investissement périodique est un concept simple. Vous choisissez une action dans laquelle vous souhaitez investir, puis vous vous engagez à investir une somme d’argent fixe sur ce titre à un intervalle de temps régulier.

Par exemple, vous pourriez choisir d’acheter, disons, 1 000 $ d’actions Wells Fargo chaque année. Ou 100 $ chaque semaine.

(Je prends l’exemple de Wells Fargo simplement parce qu’il s’agit d’une société connue et que ses actionnaires ont dû faire face à une forte volatilité du cours de l’action, mais ne pensez pas qu’il s’agit d’une recommandation d’achat.)

Le montant ou la périodicité que vous choisirez n’ont pas d’importance. Ce qui est réellement important, c’est que cette périodicité et ce montant restent constants au fil du temps, quoi qu’il arrive.« 

02:45 Vous constaterez vite les résultats de cette approche :

« Ce qui va probablement changer en revanche, c’est le nombre d’actions que vous achèterez au début de chaque période.

Quand les cours seront en hausse, le montant que vous aurez choisi d’investir permettra d’acheter un plus petit nombre de titres. Quand les cours seront en baisse, ce montant vous permettra d’en acheter un plus grand nombre.

Quel que soit le sens dans lequel est orienté le marché, vous renforcerez un peu plus chaque année votre position. Et si vous choisissez une action qui verse des dividendes, vous augmenterez également chaque année le montant des revenus que vous percevez grâce à vos actions.

Vous pouvez réinvestir cet argent pour acheter encore davantage d’actions – générant ainsi une croissance exponentielle de vos revenus !« 

Intéressé ? Zach vous révèle tout dans la suite de son article – et vous conseille aussi les meilleures actions à dividendes du marché, juste ici.

03:30 Enfin, bouclons la boucle en revenant sur le coronavirus… ou plutôt sur un risque infectieux bien plus discret mais tout aussi dangereux, comme l’explique Ray Blanco :

« Dans un contexte où l’épidémie de coronavirus qui a éclaté en Chine fait les gros titres et agite les marchés, rappelons-nous qu’il existe une menace infectieuse bien plus répandue et insidieuse, pour la santé… les infections bactériennes résistantes aux antibiotiques.

Alors que l’on constate une pénurie de nouveaux antibiotiques, ces dernières années, les bactéries commencent à s’emballer, et il n’existe aucun moyen de les arrêter.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que ces super bactéries résistantes pourraient faire davantage de victimes que le cancer, d’ici 2050. Et pas plus tard que cette semaine, l’OMS a déploré la pénurie actuelle d’innovations – et de nouveaux médicaments – en cours de développement susceptibles de contrer cette menace. »

04:00 Une solution surprenante se dessine, continue Ray – et elle provient d’un secteur que nos lecteurs commencent à bien connaître….

Explications :

« Et c’est là que le cannabis entre en jeu !

On pense que le cannabis contient des composés, tels que les cannabidoïdes et les terpènes, qui agissent comme mécanisme de défense contre les attaques microbiennes. Or il s’avère que, si ces composés sont capables de protéger cette plante, ils pourraient peut-être protéger les humains également.

Les chercheurs ont récemment découvert que les composés du cannabis pourraient être sollicités pour combattre de super bactéries telles que le staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à la méticilline (SARM).

Le SARM, cette bactérie redoutée qui ‘s’attaque aux chairs’, est responsable de l’une des infections résistantes aux antibiotiques les plus répandues.

Les souris infectées par cette souche mortelle ne peuvent être sauvées, normalement. Mais ces animaux de laboratoire ont été traités au cannabigerol (CBG), un composé du cannabis moins connu (bien qu’on en connaisse des centaines, en dehors du CBD et du THC). Ce cannabidoïde a tué les cellules du SARM, même les plus vaillantes et qui subsistent parfois après un traitement antibiotique. Le CBG a même éliminé les biofilms, un mécanisme de défense des bactéries capable d’empêcher les antibiotiques de pénétrer.

Cet antibactérien dérivé du cannabis a fonctionné aussi bien que nos antibiotiques de dernière ligne, utilisés en dernier recours.

De plus, lorsqu’il est associé à un antibiotique existant, le CBG a démontré qu’il pouvait traiter une classe différente de bactéries résistantes aux antibiotiques.« 

Décidément, le cannabis et ses dérivés sont partout… et ils méritent aussi de figurer dans votre portefeuille !

Voici comment investir, si vous êtes tenté par l’aventure…

Très bonne soirée,

Françoise Garteiser
Les Marchés en 5 Minutes

★★★  Le chiffre du jour  ★★★

 


2 février 2020
 

C’est à cette date qu’Eric Lewin dévoilera une stratégie exclusive, entièrement consacrée à des valeurs confidentielles – qui pourraient vous permettre de gagner 10 fois plus que les actions du CAC 40.

Cela à partir d’un simple compte de courtage, sans toucher aux options et produits dérivés !

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N’attendez pas : les inscriptions à cet événement exceptionnel sont encore ouvertes… mais ça ne va pas durer.

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