La semaine a été très calme dans l’attente du G20 et les propos tenus par les uns et les autres n’ont eu aucune incidence sur les marchés. Ni la tonalité moins dovish que prévu de Jerome Powell mardi soir (appuyé par son confrère James Bullard, le président de la Fed a coupé court à l’éventualité d’une baisse des taux de 50 points en juillet – le marché devra, au mieux, se contenter « seulement » de 25 points), ni à l’inverse les propos optimistes du secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin tenus mercredi sur CNBC quant à l’imminence d’un accord commercial avec Pékin (à l’écouter, il serait même déjà bouclé à 90%) ne vont vraiment faire bouger les lignes.