Le regain d’optimisme des investisseurs s’explique de mon point de vue par la stabilisation voire la régression du nombre de cas infectés dans plusieurs pays européens durement touchés, en particulier l’Espagne et l’Italie. Une bonne nouvelle qui prend le pas sur l’irrésistible augmentation du nombre de cas aux Etats-Unis et sur les statistiques macroéconomiques peu reluisantes parues ces derniers jours (je fais ici référence aux chiffres de l’emploi américain et aux PMI des services dans l’eurozone).