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Alerte n°09 – Mise à jour du portefeuille et comment profiter d’une réserve de 695 Mds$

Cher Lecteur,

Le marché des opérations de rachat s’emballe ! Et cela veut dire que les opportunités signalées par notre Indicateur Jour de Prime devraient profiter de certaines belles transactions, cette année.

Avant d’examiner comment se comportent nos positions, cette semaine, je tiens à vous faire part de recherches importantes que j’ai découvertes. J’ai appris qu’une réserve de 695 Mds$ avait été spécialement affectée à des transactions de rachat.

Et je pense que ces capitaux vont entrer en jeu au cours des tout prochains mois… ce qui pourrait contribuer à booster considérablement nos gains !

Voici ce qui se passe…

Une zone dissimulée sur le marché du rachat d’entreprises

Lorsque nous parlons d’opportunités de rachats, nous songeons normalement à de grandes entreprises rachetant des concurrents.

Mais il existe une autre catégorie de rachats, souvent tout aussi puissante : les acquisitions réalisées par le secteur du capital-investissement (« private equity« ).

Le secteur du private equity est constitué de fonds qui ne sont accessibles qu’aux investisseurs les plus fortunés du monde. Des gestionnaires talentueux utilisent les capitaux de ces investisseurs fortunés et les font fructifier sur les marchés.

Vous avez probablement entendu parler des acteurs les plus réputés de l’univers du private equity. Des gens comme Stephen Schwarzman, le fondateur du Blackstone Group… David Einhorn, de Greenlight Capital… Et Howard Marks, qui gère Oaktree Capital Management.

Ces personnalités ont amassé des fortunes de plusieurs milliards de dollars grâce à leurs choix d’investissement astucieux.

Et certains fonds de private equity parmi les plus brillants se concentrent en particulier sur les transactions de rachat d’entreprises.

Lorsqu’un fonds de private equity offre de racheter une entreprise, ce n’est pas tout à fait comme lorsqu’une société lance une OPA sur un concurrent.

Il n’y a pas de fusion entre les deux sociétés : l’entreprise qui se fait racheter est dirigée par une nouvelle équipe et obtient le soutien financier du groupe de private equity.

On espère qu’au fil du temps, la société rachetée prendra de la valeur et pourra finalement être revendue à d’autres investisseurs, moyennant un profit.

Mais voilà…

Peu nous importe qui rachète nos candidates au rachat.

Tout ce qui nous importe, c’est de savoir si un accord est conclu et combien cela va nous rapporter lorsque « tous les papiers seront signés ».

Alors je m’enthousiasme en observant le graphique ci-dessous, car c’est une grande nouvelle pour les opportunités de rachat que nous suivons.

Graphe private equity

En ce moment, les fonds de private equity qui se concentrent exclusivement sur les rachats d’entreprises sont assis sur 695 Mds$ de trésorerie qui n’attendent qu’à être employés. Et cette réserve continue de grossir mois après mois !

Rappelez-vous que les acteurs du private equity facturent des honoraires à leurs clients fortunés pour l’achat et la revente d’investissements. Ils prennent également un pourcentage sur les gains réalisés sur ces investissements. Donc, ce n’est pas en laissant tout cet argent intact qu’ils gagnent leur vie.

Cela les incite fortement à rechercher des opérations… Voilà pourquoi je pense qu’au cours des mois à venir, nous allons assister à une envolée des annonces de rachats.

Bien sûr, notre Indicateur Jour de Prime reste le signal que nous privilégions, pour identifier des sociétés qui se font racheter, que ce soit par une grande société cotée ou par des fonds de private equity.

Car toute personne au courant de négociations a envie de profiter de cette opération… et les études indiquent que c’est sur le marché des options que ces individus utilisent le plus souvent leurs informations.

Toute activité inhabituelle sur les options nous signalera vers où cette manne financière se dirige, ce qui nous permettra d’avoir une longueur d’avance sur les nouvelles opérations de rachat, et la possibilité de réaliser d’énormes gains sur ces transactions.

Alors ne perdez pas de vue ce pactole de 695 Mds$ à mesure qu’il sera employé !

Pour l’instant, examinons comment se comportent les positions que nous avons ouvertes dans le cadre d’OPA Business Club.

Mise à jour du portefeuille

LivePerson, Inc. (LPSN)

Le commerce conversationnel – c’est-à-dire des systèmes informatiques capables d’interagir avec les clients à la manière des humains – est un marché encore peu exploité que LivePerson domine largement. Et Wall Street commence à s’apercevoir du fort potentiel de hausse qu’offre cette société. Tout de suite après l’envoi de ma recommandation, notre Indicateur Jour de Prime a bondi au-dessus du prix maximum d’achat recommandé. Si vous n’avez pas pu ouvrir une position, maintenez vos ordres à cours limité. Ne courez pas après la performance. Je vous communiquerai de nouvelles instructions.

Marathon Oil Corp. (MRO)

Bien que le cours ait reculé, l’agitation autour des options MRO pourrait être synonyme de rachat dans un proche avenir. Maintenez vos ordres à cours limité, ce qui signifie que votre ordre sera traité dès que Marathon augmentera un peu. À suivre… Conservez vos actions et vos options de Niveau 2. Vous pouvez vendre la moitié de votre position sur vos options de niveau 3.

Boston Scientific Corp. (BSX)

Des acteurs de plus grande envergure cherchent à intégrer le secteur émergent des MedTech en rachetant des entreprises telles que Boston Scientific, déjà solidement ancrée dans ce secteur. L’action BSX a passé l’essentiel de 2018 à se consolider afin de rester dans la course, face à des concurrents plus importants. Dans un contexte où les fusions mettent ce secteur sous les projecteurs, la pression est là pour racheter cette société en pleine progression, avant que quelqu’un d’autre ne s’en charge.

Conservez.

Discovery, Inc. (DISCA)

Les sociétés telles que Disney et Netflix investissent dans des programmes formatés (fictions, documentaires). Toutefois, près de la moitié de tous les contenus télévisés sont des programmes de flux (destinés à être diffusés une fois), un domaine que Discovery maîtrise déjà et qui est extrêmement rentable. Même si ses actions restent sous-évaluées, c’est le moment idéal pour que « de gros poissons » de ce secteur raflent DISCA.

Conservez.

Pour que toujours vos revenus croissent !

Signature Zach Scheidt

Zach Scheidt
Rédacteur en Chef, OPA Business Club

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