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Alerte n°219 – Nouvel achat IMPACT : Misez sur la frénésie d’acquisitions qui s’est emparée des minières aurifères !

Par 28 mars 2019AGD Alertes

I.M.P.A.C.T : IMPACT, c’est l’acronyme de International Monetary Policy Analysis and Currency Trading (Analyse de la politique monétaire internationale et trading de devises). En nous appuyant sur notre propre système d’analyse basé sur la théorie de la complexité, le théorème de Bayes et les inférences, nous émettons l’alerte suivante : Le Brexit, qu’il soit « dur » ou « flexible » va pénaliser les relations commerciales entre le Royaume-Uni et l’Union européenne. Les cours de l’or vont poursuivre leur hausse, propulsés par les moteurs que représentent la demande, les taux d’intérêt et la géopolitique. Comme je l’explique ci-dessous, les options call sur une mine d’or majeure sont la façon la moins risquée de profiter du signal lancé par notre système IMPACT. Ces options call offrent une opportunité de spéculation passionnante. Si vous n’avez pas encore lu le Manuel du Trader d’Alerte Guerre des Devisescliquez ici. Puis lisez la suite pour découvrir notre recommandation

 

Nouvel achat IMPACT :

Misez sur la frénésie d’acquisitions qui s’est emparée des minières aurifères !

 

Jim Rickards

Cher lecteur d’Alerte Guerre des Devises,

Nos fidèles lecteurs savent que nous considérons l’or comme une monnaie. En fait, c’est la meilleure forme de monnaie, même si la plupart des banques centrales et le FMI ne l’admettent pas. Le cours de l’or en dollar n’est qu’un cours croisé parmi tant d’autres, semblable, fondamentalement, au cours croisé EUR/USD ou à toute autre paire de devises. Bien entendu, l’or est différent des autres types de monnaie dans la mesure où c’est un actif qui ne peut figurer, en parallèle, au passif d’une banque centrale.

Lorsque j’étais étudiant en droit, la première chose que l’on nous apprenait était de « lire le contrat ». Faisons un exercice : sortez un billet d’un dollar de votre portefeuille. Ce billet est un contrat entre la Réserve fédérale et chaque Américain.

Lisez ce qui est écrit en haut, en capitales : « FEDERAL RESERVE NOTE » [NDLR : billet de banque de la Réserve fédérale]. Un « billet [de banque] » est une forme de dette. La Fed admet ouvertement que votre actif (le billet d’un dollar) est un élément de son passif (une obligation). Si vous regardez le bilan de la Fed, vous verrez que les « billets de banque en circulation » figurent dans la colonne du passif. Votre actif est donc un élément de son passif. C’est aussi simple que cela.

A présent, prenez de l’or physique, si vous en avez sous la main. Selon qu’il s’agit d’une pièce en or ou d’un lingot, il peut y avoir différents signes ou marquages indiquant sa pureté, l’affineur, un poinçon, une année, etc. Mais rien n’indique que c’est un élément de passif. Car ce n’en est pas un. C’est purement et simplement un actif. Ce seul point classe l’or à part.

La plupart des analystes se focalisent sur le cours de l’or en dollar. Ils déclarent que l’or est « en hausse » lorsqu’il atteint 1 350$ l’once, ou qu’il « baisse » lorsqu’il tombe à 1 250$ l’once, etc. C’est parfait pour les chroniqueurs financiers, à la télévision, mais c’est une analyse erronée.

En fait, l’analyste ou le chroniqueur privilégie le dollar pour mesurer la valeur d’autres actifs. Pourquoi ? Le dollar est la principale devise de réserve et de paiement, dans le monde. C’est vrai. Sinon, il n’a rien de spécial, en tant qu’unité de mesure standard. Il serait tout aussi précis de dire que le dollar « baisse » lorsqu’il vaut 1/1 350e d’une once d’or, et qu’il est « en hausse » lorsqu’il vaut 1/1 250e d’une once d’or.

Une fois que vous considérez l’or comme un instrument de mesure (en raison de son rôle unique puisque ce n’est pas un instrument de dette d’une banque centrale), le dollar n’est qu’une monnaie parmi tant d’autres (l’euro, le yuan ou le yen). C’est un point de vue très différent, que les chroniqueurs et analystes n’arrivent pas à intégrer. Même les enfants savent qu’on ne voit pas du tout la même chose, en regardant d’un côté ou de l’autre d’un télescope.

En conservant ces arguments à l’esprit – l’or est une monnaie et l’or est la meilleure référence – on commence à mieux appréhender l’actuel marché haussier (« bull ») de l’or, ainsi que son impact sur les cours des actions des minières aurifères (« les minières »).

Photo de Jim Rickards à Val d'Or, au Québec

Moi-même, sur le site d’une mine d’or du Val-d’Or, au Québec (Canada). Malgré les efforts déployés par les minières aurifères pour ouvrir de nouveaux sites et augmenter la production, la production mondiale d’or stagne aux environs de 3 200 tonnes par an depuis 2014. La demande a progressé, ce qui a provoqué un nouveau « bull » de l’or début 2015.

Les principaux moteurs des cours de l’or sont au nombre de trois (sans compter la manipulation, autre sujet).

Le premier est l’offre et la demande fondamentales.

Le deuxième est le niveau des taux d’intérêt.

Le troisième est le contexte géopolitique.

Bien entendu, certains d’entre eux se superposent, mais tous réunis, ils peuvent être utilisés pour prédire de façon précise les cours de l’or.

La situation de l’offre et de la demande est simple. L’offre stagne et la demande progresse. Voici les statistiques de la production mondiale d’or provenant des mines d’or, ces dernières années :

2014               3 149,8 tonnes métriques

2015               3 216,0 tonnes métriques

2016               3 274,9 tonnes métriques

2017               3 291,8 tonnes métriques

Après avoir affiché une augmentation concrète entre 2010 et 2014, la production d’or des mines s’est nivelée aux alentours de 3 235 tonnes métriques par an, en moyenne. Inutile de se prononcer sur un éventuel « pic de l’or » pour observer qu’il est de plus en plus difficile d’augmenter la production. Les minières aurifères, partout dans le monde, indiquent qu’elles ont du mal à localiser de nouveaux filons méritant d’être exploités.

Les filons existants sont de plus en plus difficiles à atteindre (en raison de leur profondeur) ou baissent en qualité (car exploités depuis longtemps). Globalement, le secteur des mines d’or peut maintenir une production stable, pour l’instant, mais il n’est pas en mesure de satisfaire la demande grandissante.

Il existe une autre source d’approvisionnement : les détenteurs d’or actuels qui veulent bien en vendre. Toutefois, cette source est également en train de se tarir. En 2010, les banques centrales et le FMI sont passés du statut de vendeurs nets à celui d’acheteurs nets. Dans le secteur privé, ceux qui possèdent de l’or le déplacent des chambres fortes des banques vers des chambres fortes privées pour éviter la confiscation ou de se faire repérer. Sur le COMEX, l’or affiche un levier de 250 pour 1, en ce qui concerne les positions ouvertes auprès de dépositaires agréés. Les principaux affineurs ne prennent plus de nouvelles commandes et ont du mal à satisfaire celles de leurs clients existants.

Du côté de la demande, les principales institutions « gardiennes » de réserves d’or, telles que la Réserve fédérale de New York et la Banque d’Angleterre font l’objet de « retraits massifs », car les Etats auxquels appartient l’or dont elles ont la garde exigent qu’il soit rapatrié dans des chambres fortes situées sur leur territoire national (Allemagne, Autriche, Turquie, Azerbaïdjan, entre autres) pour éviter de se le faire confisquer par les Etats-Unis et le Royaume-Uni.

Récemment, la Banque d’Angleterre a gelé les dépôts d’or du Venezuela. L’or appartenant à la Libye et à Daech a disparu : on suppose qu’il serait sous la garde de l’armée américaine.

La Chine et la Russie ont toutes deux triplé leurs réserves d’or, ces dix dernières années, et montrent encore un appétit vorace pour les acquisitions d’or.

La Turquie et l’Iran ont acheté de l’or, bien que les quantités ne soient pas vraiment connues en raison du manque de transparence de ces deux pays.

Amasser de l’or revient à la mode.

La conjonction d’une offre stagnante et d’une augmentation de la demande ne peut aboutir qu’à une seule chose : la hausse des cours de l’or.

Il existe un autre facteur majeur : les taux d’intérêt réels. Ce sont les taux nominaux moins l’inflation. Les taux réels sont importants car le Trésor américain et les fonds monétaires font concurrence à l’or, face aux investisseurs en quête de valeurs refuges.

Le bon du Trésor américain offrant un rendement à maturité d’environ 2,19% et l’inflation telle que mesurée par le CPI (indice des prix à la consommation) étant à peu près semblable, les taux réels sont proches de zéro.

Quant à l’or, il n’offre pas de rendements.

Dans un contexte où les taux réels et les rendements de l’or sont tous deux à zéro, l’or est une solution attractive, pour les portefeuilles d’investissement. Les taux réels peuvent même être négatifs si les taux nominaux chutent plus vite que l’inflation. Voilà encore quelque chose qui pourrait propulser l’or.

Enfin, le contexte géopolitique présente des risques grandissants. Israël et le Hamas se préparent à un nouveau conflit à Gaza. Les Etats-Unis affrontent la Chine dans le détroit de Taïwan et en mer de Chine méridionale. La Russie intervient en Syrie, en Ukraine, au Venezuela et ailleurs. Les négociations avec la Corée du Nord ont été suspendues, ce qui pourrait marquer un retour au « feu et à la fureur ».

Les autres poudrières sont notamment le Yémen, l’Iran, l’Irak, l’Afrique du Sud (instabilité sociale et économique) et le Mexique (nouvelles guerres de cartels).

La frontière sud des Etats-Unis est dans un piteux état.

Les guerres commerciales pourraient dégénérer et avoir un impact majeur sur l’acier, l’automobile, l’électronique et les produits agricoles.

Le Brexit pourrait provoquer une chute du gouvernement britannique.

Tous ces éléments ainsi que d’autres crises balbutiantes pourraient accentuer le charme de l’or en tant qu’ultime valeur refuge.                                                                                                 

L’offre, la demande, les taux réels et la géopolitique envoient tous des signaux d’achat en faveur de l’or, et c’est exactement ce que nous constatons avec la hausse des cours.

De quelle façon ce déséquilibre de l’offre et de la demande, ainsi que d’autres facteurs, vont-ils affecter les cours de l’or, ainsi que ceux des minières aurifères, au cours de l’année à venir ?

Pour notre analyse, le facteur essentiel est le suivant : les cours de l’or vont poursuivre leur hausse, propulsés par les moteurs que représentent la demande, les taux réels et la géopolitique. Qu’est-ce que cela signifie, pour les minières ?

Sur de longues périodes, les cours des minières suivent ceux de l’or, à la hausse ou à la baisse, avec deux particularités.

Premièrement, les cours des actions peuvent afficher une certaine corrélation avec les principaux indices boursiers, indépendamment du lien sous-jacent avec l’or.

Deuxièmement, les cours des minières représentent un pari à effet de levier sur les cours de l’or. C’est dû à la différence entre les coûts fixes (frais généraux, coût des intérêts, etc.) et les coûts variables (coûts d’exploitation réels des mines). Lorsque les cours de l’or augmentent, les coûts fixes restent constants, ce qui signifie que, proportionnellement, le compte de résultats de l’entreprise augmente (bien entendu, cette dynamique fonctionne également à l’inverse, lorsque les cours de l’or chutent).

De plus, les grandes minières peuvent procéder à des acquisitions fructueuses permettant d’augmenter la production d’or via la minière rachetée, sans pour autant faire augmenter les frais généraux, dans la mesure où ces acquisitions s’accompagnent de licenciements et d’une consolidation.

Ces deux indicateurs positifs (hausse des cours de l’or et acquisitions fructueuses) s’appliquent à notre recommandation d’aujourd’hui : Newmont Mining Corp.

Comme l’indique le graphique 1 ci-dessous, Newmont Mining (NEM, en orange), a sous-performé l’or physique (représenté par l’ETF GLD, en violet). Cela montre, en partie, la sensibilité de NEM à la baisse du marché actions, à l’automne dernier (NEM est la seule minière aurifère du S&P 500), ainsi que le statut de valeur refuge de GLD, parallèlement aux bons du Trésor.

Graphique performances Newmont mining-ETF GLD
Cliquez ici pour afficher le graphique en grand

Alors que l’or poursuit sa modeste – mais régulière – tendance haussière, NEM pourrait désormais réaliser des gains importants à mesure qu’elle « rattrapera » les cours de l’or après les récentes baisses.

Newmont s’est également engagée dans une acquisition majeure, celle de Goldcorp Inc. La société issue de cette fusion deviendra le plus grand producteur d’or du monde tout en bénéficiant d’une énorme opportunité de réaliser des économies d’échelle et d’améliorer son levier d’exploitation.

Le 25 mars 2019, l’agence anti-trust du gouvernement mexicain a approuvé cette fusion, ce qui permet de penser que l’acquisition pourrait être finalisée dans un proche avenir. Les actions des deux entreprises ont augmenté, sur cette annonce, mais le potentiel de hausse est encore considérable, d’ici la finalisation de l’acquisition.                                                        

Gaël, notre analyste, a identifié un excellent moyen de jouer la carte du nouveau « bull » de l’or et des perspectives de NEM.

Lisez la suite pour découvrir sa recommandation et son analyse détaillée.

Bien à vous,

Jim Rickards,
Rédacteur, Alerte Guerre des Devises

Une recrudescence de fusions et acquisitions dans le secteur aurifère nous donne l’occasion d’empocher potentiellement 110%

 

 

Gaël Deballe

Cher lecteur,

Nous pensons que Newmont Mining Corp. (NYSE : NEM) a le potentiel d’atteindre 45$ d’ici la fin de l’année, résultant en des gains de 110% sur la transaction que nous recommandons plus bas.

Newmont est un important producteur d’or et de cuivre dont les exploitations minières sont situées principalement aux États-Unis, en Australie, au Ghana, au Pérou et au Suriname. Newmont a une longue histoire d’excellence opérationnelle.

Le rapport du quatrième trimestre a été excellent. Il a confirmé que les opérations se déroulent efficacement. Newmont est rentable et le flux de trésorerie disponible est positif au prix actuel de l’or. Bien que les actionnaires soient déjà en mesure actuellement de tirer profit de la hausse du prix de l’or, la direction de Newmont ne compte pas s’endormir sur ses lauriers…

Graphique cours NEM

Ainsi, en janvier 2019, Newmont a annoncé une OPA amicale, entièrement réalisée sous forme d’échange d’actions, pour acquérir Goldcorp (GOLD). Les actions de Newmont ont été vendues pendant quelques jours après l’annonce, mais cette transaction est en fait une bonne affaire pour les actionnaires. Une fois achevée, la fusion contribuera également à améliorer le sentiment des investisseurs à l’égard des titres aurifères.

Les actions de Goldcorp avaient été en baisse après la publication de résultats opérationnels et financiers décevants en 2018. Au fil du temps, de nombreuses économies et de nombreuses synergies d’exploitation s’accumuleront pour les actionnaires de la société issue de la fusion (qui sera toujours sous le nom Newmont).

Si l’opération Goldcorp se conclut comme prévu au deuxième trimestre 2019, la société issue du regroupement disposera d’un portefeuille d’activités et de terrains d’exploration plus solide. Les dirigeants de Newmont ont fait valoir que l’opération fera l’objet d’un vote d’approbation de la part des actionnaires et ont mentionné les avantages suivants :

– augmentation immédiate de la valeur de l’actif net réévalué de Newmont et du cash-flow par action ;

– amélioration de l’efficacité et notamment réduction potentielle totale de coûts estimée à 75$ par once, ce qui représente une somme prévue d’environ 165 millions de dollars par année ;

– création de synergies annuelles avant impôts de 265 millions de dollars représentant un potentiel de création de valeur de plus de 2,5 milliards de dollars ;

– production cible de 6 à 7 millions d’onces d’or annuellement sur une période de plusieurs décennies ;

– possession des plus importantes réserves et ressources d’or du secteur aurifère, y compris sur une base par action ;

– présence de la compagnie dans des juridictions favorables aux minières sur quatre continents ;

– versement du dividende le plus élevé parmi les grands producteurs d’or ;

– souplesse financière et bilan de première qualité pour mener à terme des projets ambitieux et prometteurs et génération d’un taux de rendement interne cible d’au moins 15 %.

Il s’agit là d’une perspective intéressante pour les investisseurs qui recherchent un titre corrélé à l’or dans un contexte de prix de l’or à la hausse.

Et elle est si attrayante que son rival Barrick Gold a décidé de perturber l’opération en faisant sa propre offre sur Newmont.

Barrick songeait à fusionner avec Newmont depuis des années et a finalement officialisé son offre le 25 février. Barrick a offert à chaque actionnaire de Newmont 2,5694 actions Barrick par action NEM, ce qui ne représente aucune prime spécifique.

L’offre de Barrick est en fait hostile. La plus grande partie des synergies de coûts que la société mentionne proviendrait du regroupement des activités des deux mineurs au Nevada. Barrick et Newmont ont donc convenu de former une coentreprise qui sera exploitée par Barrick. Il s’agit d’une solution gagnant-gagnant pour les deux entreprises. Elle permet à Barrick d’éviter le risque d’une grande fusion internationale. Et cela rendra l’exploitation de Newmont au Nevada beaucoup plus efficace qu’elle ne l’aurait été sans cette coentreprise.

Après la conclusion de l’entente de coentreprise, Newmont s’est heurtée à un petit mécontentement de la part de ses actionnaires lors du vote en faveur de la fusion avec Goldcorp. Newmont a de ce fait offert de verser un dividende spécial unique de 88 cents par action NEM, sous réserve de l’approbation de l’opération avec Goldcorp. Si les actionnaires de Newmont et de Goldcorp votent en faveur de l’opération lors de leurs assemblées du 11 avril et du 4 avril respectivement, le dividende sera versé le 1er mai.

L’annonce du dividende spécial a été suffisante pour obtenir l’appui d’un gros actionnaire récalcitrant, Paulson & Co. Il semble donc que la transaction sera conclue dans les délais prévus.

L’enthousiasme suscité par l’opération et la hausse du prix de l’or pourraient pousser NEM vers les 45$ au cours des prochains mois.

NOTRE CONSEIL :

Achetez des calls NEM JAN2020 30 C (calls de strike 30$ et d’échéance le 17 janvier 2020) jusqu’à 7,2 $ par contrat.

Le contrat cote actuellement environ 6,8$ (bid à 6,95 $ et ask à 7,10 $).

Placez un ordre d’achat à prix limite entre le bid (meilleur acheteur) et le ask (meilleur vendeur) sur le carnet d’ordres au moment où vous souhaitez entrer en position.

Soyez par ailleurs assuré que le marché américain est ouvert au moment où vous placez votre ordre (pour avoir un carnet d’ordres reflétant le marché à ce moment et ne pas risquer de placer un ordre non cohérent par rapport au marché).

Si NEM rejoint les 45$ d’ici la fin de l’année, ce qui nous semble réaliste, la valeur de ces options d’achat augmentera de 110 %.

Note sur le risque : Les trades sur options peuvent être volatiles et comportent tous beaucoup de risques. Bien que cette recommandation soit bien documentée par Jim, rien n’est garanti. Ne pariez pas de l’argent dont vous avez besoin ici. Et n’oubliez pas que c’est à vous de décider combien vous aimeriez mettre dans chaque trade. Assurez-vous de diversifier vos risques et de ne pas mettre tout votre argent dans un seul trade.

Bon trade,

Gaël Deballe

Portefeuille AGD du 28/03/2019
Pour afficher le portefeuille en grand, cliquez ici

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