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Alerte n°62 – Bonjour Penny Stocks Winners !

Par 28 octobre 2019Alertes

Cher lecteur,

C’est désormais officiel : ce service lancé il y a un an presque jour pour jour change de nom et s’intitulera désormais Penny Stocks Winners.

Je reviendrai dans un instant sur l’actualité des valeurs que nous détenons en portefeuille, sachant qu’elle est calme, le plus gros des publications trimestrielles étant à présent derrière nous.

Auparavant, je tenais aussi à vous rappeler que vous recevrez incessamment, dans le courant du mois prochain, deux nouvelles recommandations d’achat. La grille de lecture est la même, à savoir quatre critères d’évaluation et une note globale sur 20, et je suis en quelque sorte en train de finaliser l’examen. Patience !

Update du portefeuille

S’agissant de nos positions ouvertes, l’action HIGH CO (FR0000054231-HCO) se rapproche des 5,62 €, niveau sur lequel vous avez dû placer un ordre de vente pour la moitié de la ligne. Conservez dans l’immédiat et conservez le solde une fois la prise de bénéfices engrangée.

Pour le reste, l’action ARTEFACT (FR0000079683-ALATF) a décroché de 23% vendredi et abandonne encore près de 4% à l’approche de la mi-séance à la suite de comptes décevants au premier semestre. Si la marge brute a crû de 10,5%, la perte opérationnelle est, elle, ressortie à 2 M€, tandis que la perte nette atteint presque les 3 M€.
Des mesures de restructuration en Europe du Nord ont pesé sur les résultats. Surtout, les objectifs à horizon 2020, à savoir une marge brute de 100 M€ et une marge d’Ebitda dans une fourchette comprise entre 10 et 15%, ont été remis à 2022…
Un ami gérant était présent à la réunion SFAF et m’a rapporté son déroulement. « La direction n’était pas à son aise et j’ai trouvé la communication plus que médiocre », m’a confié ce spécialiste, pour qui le dossier reste fragile.
Même si le newsflow n’est guère encourageant, j’estime de mon côté plus sage de conserver la valeur. ARTEFACT peut en effet se prévaloir d’une vraie technologie autour du marketing associé à l’intelligence artificielle. A ce titre, je ne serais pas étonné qu’un grand nom de la cote comme Publicis, qui a déjà acquis Soft Computing dans un passé récent et évolue sur un marché de la publicité particulièrement disruptif, finisse par jeter son dévolu sur la société.

Une petite anecdote pour finir. Alors que je déambulais dans un hôtel parisien ce week-end, je me suis retrouvé nez à nez avec Stéphane Conrard, le directeur général délégué de PRODWARE (FR0010313486-ALPRO), notre dernière recrue.

« Franchement tes résultats ne sont pas top. Mes lecteurs sont mécontents, tu aurais pu faire mieux car ton titre a pris un énorme pain », lui ai-je lancé.
Sa réponse s’est voulue à la fois argumentée et rassurante : « ce sont les grands donneurs d’ordre qui ont flanché, mais le second semestre s’annonce de meilleure facture avec une montée en puissance dans le SaaS. Par ailleurs, nous faisons mieux que tous nos concurrents, donc je reste optimiste. Tu pourras leur dire qu’il n’y a aucune inquiétude à avoir sur PRODWARE ».
Nous avons échangé une bonne dizaine de minutes et j’ai senti Stéphane Conrard plutôt confiant. Nous avons prévu de nous revoir plus longuement et surtout en tête-à-tête dans les semaines à venir. D’ici là, conservez également cette (belle) valeur.

Amicalement,

Eric Lewin

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