Après l’atteinte du cap des 18000 $, on se place à la vente ce soir ici (attention le cas échéant au risque overnight). A tout à l’heure.
Alors que le stop automatique sur les Put CAC n’a pas tenu ce matin, on se place à l’achat ici sur la midcap.
1er novembre oblige, notre traditionnel suivi hebdomadaire est exceptionnellement publié ce jeudi. Ces derniers jours, les volumes sont faibles et c’est surtout la surperformance du CAC40 par rapport à ses pairs qui retient mon attention.
Alors qu’Oddo BHF a relevé ce matin son conseil de « neutre » à « achat » et que le « net bookings » trimestriel publié hier soir est ressorti légèrement supérieur aux guidances données en fin de semaine dernière (347 millions d’euros contre 310 millions d’euros donné en guidance le 24 octobre), on écourte les choses ici.
Alors que notre indice a démarré sur une sixième séance de hausse d’affilée et commence à montrer des signes de fébrilité (chiffres chinois décevants ce matin), on se replace à la vente ici.
Comme en début de mois, je pense que la hausse actuelle (sans volume et très lente) va être corrigée de manière impulsive.
Etant donné la surperformance du jour, on va écourter le trade ici. A tout de suite.
Le groupe va publier ses chiffres ce soir. Alors qu’il remonte dans son gap ouvert en fin de semaine dernière (suite à un important profit warning) on se place à la vente ici.
A la veille de la réunion de la Fed (à l’issue de laquelle une nouvelle baisse de taux semble acquise), les indices temporisent.
Depuis hier après-midi, je surveillais le Dax dans l’idée d’une vente depuis le cap rond des 13 000 points. Ce dernier ayant uniquement été effleuré à ce stade, et alors que son atteinte reste possible, on va pour le moment se placer short sur le CAC.
Vendredi soir, Wall Street s’est arraché à la hausse alors que les comptes d’Intel ont pris le dessus sur ceux d’Amazon.
Publicis avait en quelque sorte lancé les hostilités il y a deux semaines, avec une révision à la baisse de son objectif annuel de croissance organique qui lui a valu un net décrochage boursier. La semaine dernière, Renault, Thales et Danone ont emboîté le pas au géant de la publicité, avertissant chacun sur leurs résultats.
Reprenez mon mail de mardi soir en fin de séance. Et bien grosso modo ce jeudi, j’en arrive au même constat sur le S&P 500 : « la proximité des sommets historiques me dérange à l’idée de vendre.
On reprend nos billes ici. Ne vous éloignez sinon pas trop de vos mails d’ici la clôture…
Comme vous l’aurez compris avec l’orientation de nos opérations du jour, j’avais aujourd’hui un biais baissier.
Après la fébrilité de Wall Street hier soir, on se place à la vente ici dans le rebond horaire (stop d’un peu plus de cent points sur le future/CFD comme indiqué avec le ticket d’ordre en partie basse).
Malgré un reflux horaire dans la zone escomptée (et les publications de BASF et Daimler demain matin), on va sortir ici. A tout à l’heure.
Après l’hésitation de Wall Street hier soir, on reprend nos billes ici. A tout à l’heure.
Alors que la baisse n’a pas suivi hier soir, on sort ici. A tout à l’heure.
En ce mardi, ma conviction n’y était pas. En effet, comme en fin de semaine dernière, la proximité des sommets historiques sur le S&P 500/Nasdaq me dérange à l’idée de vendre.