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C’est peu dire que les valeurs de la cote parisienne sont malmenées ces jours-ci. Au moment où j’écris ces lignes, autour de 16h30, le CAC40, qui avait déjà plongé de près de 4% hier, abandonne encore 1,5% pour revenir sur des niveaux de 5 700 points.
Séance à marquer d’une pierre noire pour les marchés actions. Le CAC40 se repliait ainsi de près de 4% autour de 17h sur fond bien sûr de très vif regain d’inquiétudes des investisseurs autour du coronavirus.
Loin d’être jugulée, l’épidémie se propage avec une augmentation soudaine de nouveaux cas en Corée du Sud, en Iran et en Italie que le directeur général de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a qualifiée de « très préoccupante ». Ce dernier a même appelé le monde à se préparer à une « éventuelle pandémie », ce qui aurait bien sûr d’importantes répercussions sur l’économie mondiale.
Excellente publication pour BOUYGUES (FR0000120503-EN), dont l’action engrange 3,3% à la mi-journée, soit l’une des plus fortes progressions du CAC40, à la suite de comptes annuels de grande qualité.
Alors que janvier a été assez satisfaisant en termes de collecte, avec plus de 80 M€ investis dans les fonds small et mid, le mois en cours a plutôt mal démarré sur ce plan. Au moment où j’écris ces lignes, la décollecte atteint en effet 15 M€.
Pour (se) rassurer, les stratégistes économiques et financiers aiment à utiliser des
comparaisons. La période actuelle ne fait pas exception à la « règle » puisqu’il s’en trouve
de plus en plus pour dresser un parallèle entre ce début d’année 2020 et la bulle Internet.
Mifid 2… Cette directive donne de l’urticaire à de nombreux professionnels des marchés et plus particulièrement aux spécialistes des petites et
moyennes capitalisations.
On peut les comprendre puisque ces derniers ont enregistré des baisses de leur activité de l’ordre de 40% depuis son instauration en 2018.
Le comportement actuel des marchés actions a de quoi laisser pantois. Les investisseurs semblent en effet faire comme si un vaccin contre le coronavirus avait déjà été trouvé !
D’une manière générale, on peut se demander s’ils ont bien jaugé les répercussions sanitaires et économiques de l’épidémie, avec une consommation chinoise au ralenti, des fermetures de magasins en pagaille, des géants américains comme Apple, Nike ou Starbucks privés d’une manne considérable et des métropoles totalement figées ou presque.
Bonne nouvelle concernant ATEME (FR0011992700-ATEME), qui représente 5% de nos encours (avec un premier achat à hauteur de 3% en août 2017, ce qui fait du spécialiste de la compression vidéo l’une de nos plus anciennes lignes, et un renforcement pour 2% supplémentaires en décembre 2018) et dont le titre se reprend bien consécutivement à l’annonce jeudi d’une progression de 18% du chiffre d’affaires annuel à 66,4 M€ (+14 % à devises constantes).
Il ne vous aura probablement pas échappé que la semaine écoulée a été éprouvante pour les marchés actions, le CAC40 ayant notamment cédé 3,6% sur fond de craintes autour du coronavirus. Quelles peuvent être ses conséquences sur l’économie chinoise et, plus encore, sur l’économie mondiale ? Quels sont les secteurs qui pourraient le plus en souffrir ? Dans quelles proportions se propagera-t-il à l’international ?
Fortement secoué en début de semaine et de nouveau ce jeudi en raison du regain d’incertitudes quant aux répercussions économiques et sanitaires du coronavirus, le CAC40 affiche une perte de 1,6% depuis le 1er janvier. C’est un peu mieux que le CAC Small, qui cède pour sa part 2,1% environ à compter du début de l’année.
Alors que la Bourse de Paris a débuté la semaine du (très) mauvais pied, le CAC40 ayant clôturé en baisse de quelque 2,7%, repassant ainsi en dessous des 5 900 points, nervosité et volatilité prévalent en ce mardi. Il faut dire que les répercussions du coronavirus, tant sur la santé des populations, en Chine et à l’international, que sur l’économie, sont encore bien difficiles à évaluer à ce stade.
La Bourse de Paris cède beaucoup de terrain en ce mardi, avec un CAC40 revenu sur des niveaux de 6 000 points. Les investisseurs sont passablement inquiets alors qu’un virus issu de la famille du Sras (Syndrome respiratoire aigu sévère) a fait un quatrième mort cette nuit en Chine et que la presse publique a fait état de 291 personnes contaminées à la date d’hier.
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Qui l’eût cru ? Il y a encore deux ans, l’économie allemande évoluait sur un trend annuel de croissance de 2,5% et si certains économistes avaient prophétisé une quasi-récession à l’époque, ils auraient au mieux été pris pour des incompétents, au pire pour des fous.
Et pourtant… La première économie de l’eurozone est confrontée depuis de longs mois à un très sérieux trou d’air, avec une hausse de seulement 0,6% de son PIB l’an passé et une croissance qui ne devrait pas dépasser 1% cette année.
Nous avons récemment placé un ordre de vente stop à 47 € sur FNAC DARTY (FR0011476928-FNAC) et bien nous en a pris au regard du comportement du titre en ce vendredi.
Evénement géopolitique majeur de ce début d’année, le regain de tensions entre les Etats-Unis et l’Iran à la suite de l’assassinat du général Soleimani a pris une tournure tragique avec le crash d’un Boeing 737 ukrainien la semaine dernière. Une regrettable méprise de Téhéran, qui a fini par l’admettre ce week-end, a entraîné la destruction de l’appareil et provoqué la mort de 176 personnes.
2,86 Mds€. Les montants levés l’an dernier sur le marché parisien dans le cadre des introductions en Bourse dépassent largement le 1,1 Md€ de 2018, un piètre millésime en la matière, mais les chiffres sont parfois trompeurs…. A elle seule, l’IPO – très réussie – de La Française des Jeux a en effet pesé 1,8 Md€, tandis que Verallia a levé 800 M€. En excluant ces deux opérations, les montants ont reculé d’environ 51% entre 2018 et 2019 à seulement… 93 M€, une vraie contre-performance.