2,86 Mds€. Les montants levés l’an dernier sur le marché parisien dans le cadre des introductions en Bourse dépassent largement le 1,1 Md€ de 2018, un piètre millésime en la matière, mais les chiffres sont parfois trompeurs…. A elle seule, l’IPO – très réussie – de La Française des Jeux a en effet pesé 1,8 Md€, tandis que Verallia a levé 800 M€. En excluant ces deux opérations, les montants ont reculé d’environ 51% entre 2018 et 2019 à seulement… 93 M€, une vraie contre-performance.
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La semaine démarre bien mal pour les marchés actions. Au moment où j’écris ces lignes, l’ensemble des Bourses européennes sont en effet en net repli, la faute à une situation devenue explosive entre les Etats-Unis et l’Iran (j’aurai l’occasion d’y revenir prochainement).
La semaine s’annonce éprouvante pour les marchés actions. Au moment où j’écris ces lignes, l’ensemble des Bourses européennes sont en effet en net repli, la faute à une situation devenue explosive entre les Etats-Unis et l’Iran (j’aurai l’occasion d’y revenir très prochainement).
2019 restera une année faste pour les marchés actions. A Paris, le CAC40 est finalement allé « chercher » le cap rond des 6 000 points, traçant sa route à la serpe. L’indice phare a touché un plus haut de douze ans lundi et cote 6 032 points au moment où j’écris ces lignes, autour de 13h15. Il enregistre une progression de l’ordre de 1,1% sur la semaine. Surtout, le CAC40 engrange près de 28% à compter du 1er janvier, une performance exceptionnelle.
Malheureusement, la débâcle s’est poursuivie pour IPSEN (FR0010259150-IPN), qui connaît une fin d’année particulièrement difficile. Etrillé le 6 décembre dernier en Bourse à la suite de la suspension ordonnée par la FDA (Food and Drug Administration) américaine de deux études évaluant le candidat médicament expérimental Palovarotène, sur lequel il fonde beaucoup d’espoirs, le groupe pharmaceutique est encore en net repli ce mercredi.
La semaine close a été marquée par la cession de la moitié de NANOBIOTIX (FR0011341205-NANO), qui demeure la plus ancienne ligne de notre portefeuille. Nous vous invitons à conserver le solde alors que le groupe vient de se voir attribuer le prix Galien France 2019 pour son produit innovant Hensify.
Parmi les grandes interrogations qui se posent pour le début de l’année 2020, après un excellent cru 2019 (du moins pour la plupart des grosses capitalisations boursières occidentales), figure notamment la capacité de l’économie américaine à rester sur un trend de croissance de 2%.
La semaine boursière a été marquée par de fortes variations auxquelles nous n’étions plus habitués. Le CAC40 a ainsi reculé sous les 5 700 points lundi dernier, mais a terminé la séance de vendredi à 5 872 points. Alors que l’actualité est plutôt calme sur le front microéconomique, la thématique de la guerre commerciale continue de faire la une de l’actualité financière et boursière.
Les performances des indices qui regroupent les sociétés de notre compartiment ne sont pas déshonorantes en soi. Le CAC Small a en effet progressé de plus de 10% depuis le début de l’année, tandis que le CAC Mid & Small s’est adjugé environ 16%.
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Compte tenu de la fébrilité des marchés actions, avec un CAC40 qui a décroché de 2% hier et cédait encore 1,2% ce mardi à 1h30 de la cloche, et surtout des grandes difficultés de la filière automobile dans son ensemble, il me semble préférable de sortir de FFP (FR0000064784-FFP) aux cours actuels.
La semaine close aura été assez calme sur les indices boursiers, avec de surcroît une volatilité réduite en raison notamment de la fermeture du marché américain pour Thanksgiving. Au chapitre microéconomique, la thématique des fusions-acquisitions revient en revanche en force. LVMH a ainsi frappé un très grand coup en lançant une OPA sur Tiffany. Le géant du luxe a mis 16,2 Mds$ sur la table pour racheter le joaillier américain et réaliser la plus importante opération de croissance externe de son histoire. Ce faisant, il concurrencera frontalement Richemont, propriétaire entre autres de la marque Cartier.
La semaine écoulée aura été des plus calmes sur la cote parisienne, à l’exception bien sûr des premiers pas boursiers plus que réussis de La Française des Jeux. En léger repli hebdomadaire, le CAC40 est toutefois reparti de l’avant depuis lundi, mais dans des volumes assez peu étoffés. En réalité, considérant l’absence d’accord commercial et à l’inverse d’informations de nature à redouter un achoppement des négociations entre Pékin et Washington, les investisseurs n’osent pas véritablement prendre position.
Les semaines se suivent et se ressemblent à la Bourse de Paris. Alors que le CAC40 pourrait viser les 6 000 points d’ici la fin de l’année (potentiellement sous réserve de bonnes nouvelles sur le front commercial) et engrange plus de 25% depuis le début de l’année, c’est toujours, toutes choses égales par ailleurs, la soupe à la grimace pour les petites et moyennes capitalisations.
Lorsqu’on évoque le ralentissement mondial, c’est souvent l’Europe qui vient en premier
à l’esprit. La croissance est il est vrai nulle en Italie, tandis que l’Allemagne, longtemps
locomotive de l’eurozone, risque fort de basculer en récession avec une nouvelle
décroissance au troisième trimestre.
L’écart de performance entre le CAC40 et le CAC Small demeure élevé. Alors que l’indice de référence de la Bourse de Paris a grimpé de près de 25% à compter du 1er janvier et tutoie les 5 900 points, le CAC Small n’a, lui, pris que 10,6% environ dans cet intervalle.
Plus ancienne ligne de notre portefeuille, que le groupe avait rejoint sur des niveaux de 13,45 € en janvier 2018, ORANGE (FR0000133308-ORA) l’a quitté pour de bon il y a quelques minutes. Le titre a en effet brièvement touché les 14,60 €, niveau sur lequel nous avions placé un ordre de vente.
550 Mds€… C’est la somme consacrée au financement de l’univers du non-coté sur le Vieux Continent. La France n’est pas en reste en la matière, avec plus de 150 fonds positionnés sur ce créneau et, souvent, des enveloppes conséquentes. Une aubaine pour de nombreuses sociétés comme BlaBlaCar, spécialiste du covoiturage, qui a pu lever plus de 250 M€ en l’espace de quelques années.
L’optimisme reste de rigueur sur les Bourses mondiales, avec un CAC 40 qui continue de grimper, cote environ 5 860 points ce mercredi en début de séance et se rapproche, lentement, mais sûrement, des 6 000 points. Les investisseurs semblent davantage confiants quant à un « happy end » entre la Chine et les Etats-Unis, qui s’écharpent depuis de longs mois sur le front commercial. Au surplus, l’économie américaine montre des signes de résilience. Le PIB américain a en effet progressé de 1,9% au troisième trimestre, alors que le consensus tablait sur une hausse plus modérée de 1,6%, avec une nouvelle fois une consommation des ménages dynamique.