Alors que la première salve des résultats semestriels s’est achevée, les marchés actions
restent bien orientés avec des plus hauts historiques sur le Nasdaq et le S&P500. Le
CAC40 demeure pour sa part proche de ses plus hauts niveaux depuis 11 ans sur fond de
taux toujours aussi bas.
La bonne dynamique se confirme pour ORPEA (FR0000184798-ORP), qui surperforme la tendance, aligne une quatrième séance de hausse consécutive et engrange un peu plus de 1% à une heure de la cloche. Le titre du spécialiste des maisons de retraite a même poussé jusqu’à 114 €, niveau sur lequel je vous avais invité hier à placer un ordre de vente pour 50% de la position afin de sécuriser un gain d’un peu plus de 11%.
C’est hélas une constante depuis de longs mois : les petites et moyennes capitalisations continuent de sous-performer les bluechips. Depuis le début de l’année, le CAC Small ne gagne ainsi que 9,4%, tandis que le CAC40 engrange 16,5%. Entre des gérants aux abonnés absents, des résultats régulièrement décevants en raison d’un positionnement sans doute trop européen de nombreuses sociétés et des valorisations assez élevées, les raisons ne manquent pas pour expliquer la défiance des investisseurs.
Au lendemain de la publication de votre mensuel, notre portefeuille enregistre une bonne nouvelle. A rebours de la tendance, le titre ORPEA (FR0000184798-ORP) progresse en effet de près de 1%. Ce faisant, il dépasse assez nettement les 112 €.
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Après plusieurs semaines de torpeur, nous sommes entrés dans la période de publication des résultats. Il en découle une avalanche de communiqués qu’il faut évidemment disséquer et bien analyser, par-delà les précautions scripturales et autres éléments de langage susceptibles d’endormir voire de duper l’investisseur. Comme chaque année, les publications des petites et moyennes capitalisations sont néanmoins dans l’ombre de celles des blue chips, qui accaparent l’attention des gérants, des journalistes, bref de l’ensemble de la communauté financière.
Comme toujours ou presque à cette période de l’année, l’actualité est on ne peut plus calme sur le front des small et midcaps. Le bal des publications va commencer à s’intensifier – à cet égard, ATEME (FR0011992700-ATEME) et NANOBIOTIX (FR0011341205-NANO), qui pèsent respectivement 5 et 6 % de nos encours, feront un point d’activité d’ici la fin de la semaine –, mais la discrétion prévaut dans l’immédiat.
L’attentisme prévaut actuellement après un premier semestre faste sur les marchés actions. Une pause assez logique au vu des performances enregistrées jusqu’ici donc, mais aussi parce que le bal des publications vient tout juste de débuter aux Etats-Unis. Surtout, de nombreuses questions de fond restent en suspens, au premier rang desquelles la ligne de conduite qu’adoptera la FED lors de la très attendue réunion de fin juillet.
Pas grand-chose à signaler cette semaine sur notre compartiment, ce qui est logique à cette période de l’année, la saison des résultats semestriels ne débutant réellement qu’à la mi-juillet (et s’intensifiant à la fin du mois). Il y aura alors un peu plus d’animation, avant une nouvelle « trêve » et un regain d’activité début septembre.
Le CAC40 a encore gagné 1% au titre de la semaine close et s’il cède un peu de terrain en ce lundi, l’indice phare de la Bourse de Paris affiche tout de même une progression de près de 18% à compter du début de l’année. Il n’est désormais plus très loin de son plus haut de douze ans, à savoir 5 657,44 points. Impressionnant…
A moins d’être familier du monde des petites capitalisations boursières, le nom d’Arcure ne vous dira sans doute rien. Les observateurs les plus attentifs de l’actualité financière savent cependant que ce spécialiste des capteurs intelligents destinés au renforcement de l’autonomie des engins sur les sites industriels est le seul groupe français à s’être introduit à la Bourse de Paris au cours du premier semestre.
C’est l’euphorie sur les marchés actions, soutenus par la trêve dans le conflit commercial qui oppose les Etats-Unis et la Chine. Un soulagement pour les investisseurs qui, à Paris, se traduit par un CAC40 qui vient de toucher un plus haut annuel à 5 611 points. Si le soufflé est légèrement retombé depuis, l’indice vedette évoluant autour de 5 583 points au moment où j’écris ces lignes, peu après midi, le biais haussier perdure. Les opérateurs attendent en outre de nouvelles mesures de soutien de la banque centrale chinoise, alors que les dernières statistiques confirment le ralentissement de l’économie de l’Empire du Milieu.
Alors que le premier semestre 2019 touche à sa fin, force est de constater que les indices représentant notre compartiment ont connu une belle première partie de l’année avec des hausses respectives de 12,9% et de 9,7% pour le Cac Mid &Small et le CAC Small. Certes, ces progressions restent inférieures au CAC40, qui s’élève à 16,4%, mais sont loin d’être un mauvais cru pour les petites et moyennes capitalisations. Le seul bémol réside dans des volumes vraiment très faibles avec l’absence d’investisseurs finaux.
La semaine écoulée a été plutôt satisfaisante pour les indices actions avec une hausse de plus de 2,5% pour le CAC 40. Il faut dire que les banques centrales ont été à la manœuvre avec des discours accommodants, aussi bien du côté de la Fed que de la BCE. La banque centrale américaine a clairement ouvert la porte à de futures baisses de taux, sans doute même lors de la prochaine réunion fin juillet. Mario Draghi a également lors d’un discours à Sintra au Portugal laissé entendre qu’il utilisera toute la flexibilité permise pour assurer la stabilité des prix, un message clair en faveur d’un possible QE.
Alors que le premier semestre touche à sa fin, le temps est venu de dresser un premier bilan. Après un très bon début d’année, les indices CAC Mid & Small et CAC Small ont progressivement marqué le pas, et ne s’adjugent plus « que » respectivement 13,3 et 11% depuis le 1er janvier. C’est moins que le CAC40, qui affiche quant à lui un gain de 16,3% à compter du début de l’année.
Longtemps considérée apathique et souffrant de la comparaison avec son homologue allemande, l’économie française montre de très nets signes de redressement ces temps-ci.
Alors que le premier semestre touche à sa fin, les volumes restent désespérément anémiques dans notre compartiment et les souscriptions ne reviennent pas.
Un constat amer, même si les performances des indices CAC Small et CAC Small & Mid demeurent honorables, avec des gains respectifs de 11,4 et 11,6% à compter du 1er janvier, mais qui ne suffisent pas à faire revenir les investisseurs.
Les marchés actions repartent de l’avant, encouragés par l’accord conclu entre les Etats-Unis et le Mexique en fin de semaine dernière. Donald Trump menaçait en effet de relever les tarifs douaniers sur les importations de produits mexicains, mais il n’en sera finalement rien et les deux pays sont parvenus à un terrain d’entente.
Ivalua… Ce nom ne vous dit sans doute rien, mais c’est celui d’une nouvelle licorne dans le paysage technologique français. A la suite d’une levée de fonds de 60 M$, cet éditeur de logiciels de gestion des achats
fondé en 2000 vient en effet de rejoindre le club très fermé des jeunes pousses valant plus de 1 Md€…
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