Alors que nous allons entamer le dernier mois du semestre, l’écart de performances se creuse entre le CAC40 et le CAC Small. Alors que le premier s’adjuge encore 12,6% depuis le 1er janvier et cote autour de 5 325/5 330 points au moment où j’écris ces lignes, le second n’a pris que 8,5% à compter du début de l’année.Les investisseurs persistent à délaisser notre compartiment, comme s’ils étaient en mal criant d’imagination. Plus largement, la décollecte reste importante sur les marchés actions. Et si 900 M$ d’entrées nettes ont été dénombrées sur les actions la semaine dernière, une première depuis deux mois et demi, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne…
Il a débuté il y a un an et n’en finit pas ! Contrairement à une idée reçue tenace selon laquelle l’Empire du Milieu serait le seul à en faire les frais, ou à tout le moins celui qui en payerait le plus lourd tribut, le conflit commercial qui met aux prises les États-Unis et la Chine risque fort de faire vaciller les deux pays.
Pour rappel, nous vous avons recommandé la semaine dernière de vendre JACQUET METAL SERVICE (FR0000033904-JCQ), WAVESTONE (FR0013357621-WAVE), XILAM ANIMATION (FR0004034072-XIL), SIDETRADE (FR0010202606 ALBFR) et INNELEC MULTIMEDIA (FR0000064297-INN). Ces conseils restent d’actualité, mais les niveaux préconisés (16,50 € pour Jacquet Metal Service ; 30 € pour Wavestone ; 50 € pour Xilam Animation ; 65 € pour Sidetrade ; 5,50 € pour Innelec Multimédia) n’ont pas encore été atteints.
D’aucuns pensaient la signature d’un accord imminente. Las ! La guerre commerciale qui met aux prises les Etats-Unis et la Chine depuis plus d’un an est loin d’être finie.Donald Trump l’a rappelé à sa façon, avec un de ces tweets au vitriol dont il a le secret, il y a huit jours. Mécontent de la teneur des discussions, avec des avancées trop modestes et trop lentes à son goût, le président américain a accentué la pression sur Pékin, annonçant le relèvement de tarifs douaniers de 10 à 25% sur 200 Mds$ d’importations chinoises, une mesure punitive entrée en vigueur vendredi.
Mécontent de la lenteur de l’évolution des discussions avec la Chine, Donald Trump a une nouvelle fois tapé du poing sur la table le 5 mai dernier. Dans un de ces tweets au vitriol dont il a le secret, le président américain a annoncé de nouvelles sanctions douanières contre l’Empire du Milieu, lequel a, quelques jours plus tard, promis qu’elles ne resteront pas sans réponse.
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La seconde quinzaine d’avril est historiquement rythmée par le début de la saison des résultats des entreprises américaines cotées au titre du premier trimestre de l’année. On peut toutefois supposer qu’ils feront moins le « buzz » que d’ordinaire, sachant qu’il n’y aura pas, contrairement à 2018, de réforme fiscale en soutien.
Bonne nouvelle pour notre compartiment ! L’indice CAC Small vient en effet de s’adjuger 3,5% en l’espace d’une semaine, surperformant ainsi nettement le CAC40 qui se contente quant à lui d’une progression de 1,5%.Effet rattrapage ? Il n’y a pas d’explication particulière à ce regain de forme, sinon des publications plutôt de bonne facture dans l’ensemble. Parmi elles, Haulotte Group et Pierre & Vacances (…)
A la veille de la publication de votre lettre mensuelle, nous tenions à vous informer que DANONE (FR0000120644-BN) a atteint ce mardi le niveau de 70 € sur lequel nous vous recommandions de vendre.
La semaine a été plutôt positive pour les smallcaps, avec une progression de 1,8% du CAC Small depuis l’envoi de notre dernier mensuel mercredi.L’indice s’adjuge désormais un peu plus de 12% par rapport à son niveau du 1er janvier. Une performance très respectable, mais encore nettement inférieure à celle du CAC40, lequel grimpe pour sa part de 16%.
La consolidation n’a toujours pas commencé sur les valeurs françaises, à tel point que certains spécialistes commencent à se demander si le CAC40 peut aller chercher et même dépasser le seuil hautement symbolique des 6 000 points dans les semaines qui viennent.
Après réflexion, nous avons jugé plus judicieux de vous conseiller de vendre AXA (FR0000120628-CS) aux cours actuels. Bien orienté depuis le début de l’année, avec une hausse de l’ordre de 23%, un rattrapage conforme à nos anticipations, le titre de l’assureur n’est plus qu’à quelques encablures de notre objectif de cours de 24 €.
Visiomed, Delta Drone, Intrasense, Cybergun… Ces sociétés ont un dénominateur commun : une situation financière compliquée qui se traduit par des difficultés à se financer sur les marchés. Concrètement, elles peinent à obtenir des lignes bancaires et ne peuvent généralement pas passer par la voie classique de la Bourse, c’est-à-dire une augmentation de capital pour lever des fonds.
Alors que les flux ne sont toujours pas au rendez-vous et qu’une large majorité d’experts s’attendent à une correction, la consolidation se fait toujours attendre… La baisse de 2% du CAC40 il y a dix jours à la suite de PMI décevants est désormais bien derrière nous. Elle a été digérée et la Bourse de Paris a repris sa marche en avant, avec un indice de référence au-dessus des 5 400 points au moment où j’écris ces lignes. Déroutant !
Ceux qui me lisent régulièrement le savent : je ne suis pas franchement un adepte du secteur bancaire. Plusieurs facteurs expliquent mes réserves, au premier rang desquels la concurrence de plus en plus âpre des fintechs et la faiblesse chronique des taux. A chaque fois que j’interviens dans l’émission BFM Business et qu’on m’interroge sur la pertinence d’un achat de telle ou telle valeur bancaire, j’y suis réfractaire. Il n’y a cependant que les imbéciles qui ne changent pas d’avis et les fluctuations du marché nécessitent de ne pas être figé dans ses positions. Aussi, une fois n’est pas coutume, je vais vous recommander ce mois-ci d’investir sur une valeur bancaire, en l’occurrence Rothschild & Co.
Malheureusement, la situation ne s’arrange guère pour notre compartiment, alors que le marché parisien semble être entré en fin de semaine dernière dans une phase de consolidation. Le CAC Small enregistre certes une progression tout à fait respectable de près de 7,4% depuis le début de l’année, mais le CAC 40 est beaucoup mieux loti avec un gain de plus de 12%.
Après une très longue séquence haussière, trop longue pour ne pas se prémunir en achetant des BX4, les marchés actions marquent une pause logique. Cette temporisation tient sa source dans la publication vendredi d’un indice PMI composite très décevant dans l’eurozone.