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Une bonne nouvelle, une mauvaise nouvelle

Par 1 octobre 2019Alertes

« Ceux qui emploient mal leur temps sont les premiers à se plaindre de sa brièveté. »

– Jean de La Bruyère

Chère Lectrice, cher Lecteur,

00:00 M. de La Bruyère aurait-il considéré deux réunions à la suite comme un mauvais emploi de mon temps ?

Une chose est sûre, aujourd’hui, je me lamente de sa brièveté (celle de mon temps, pas celle de l’un de nos plus grands moralistes)… avec d’autant plus d’intensité que la SNCF m’a elle aussi dérobé 45 minutes ce matin, à coup de trains annulés et de retards intempestifs.

Une chose en entraînant une autre, il ne me reste guère de temps pour vous écrire aujourd’hui. Ce sera donc une édition aussi condensée que mon efficacité – je vais la réduire à deux choses, une bonne et une mauvaise nouvelle.

00:30 Commençons par la mauvaise, ce sera toujours ça de fait. Il s’agit du Bitcoin, qui semble replonger dans des déboires qu’on pensait oubliés depuis quelques mois… et s’oriente décidément à la baisse.

Mathieu Lebrun nous dit tout dans La Bourse au Quotidien, avec une analyse technique claire et concise :

« [Si] le directionnel de sortie ne s’est finalement pas concrétisé dans le sens de la tendance de fond, le mouvement n’a pas manqué de vitesse. Par l’effet boule de neige des stops qui sautent en simultané, la rupture de la zone horizontale des 9 200 $ (cf. le cercle noir + rectangle bleu clair sur mon graphique journalier ci-dessous) a ensuite débouché sur d’importants dégagements ces derniers jours.

graph 1
Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Source : Tradedcoder
 

Par quel principe ? Encore et toujours celui que j’affectionne pour illustrer ce type de décalage : le ressort. En effet, plus ce dernier est comprimé et plus, quand il se relâche, la force qui se dégage a posteriori est proportionnelle au degré de compression antérieur. »

01:30 Que faut-il en déduire pour le futur ? Mathieu n’est pas forcément très optimiste à court terme :

« […] Certes, il y a forcément des raisons ‘fondamentales’ ayant motivé ce type de ventes, mais de mon point de vue, il s’agit surtout d’un effet d’emballement technique depuis la rupture des 9 200$, seuil sous lequel donc de nombreux stops ont tous sauté en même temps).

En tentant désormais d’analyser les choses sous un angle plus prospectif, ce décrochage n’est pas de bon augure à court terme. Le risque de revoir le cap des 6 000 $, zone cible correspondant au report d’amplitude de la base de l’ancienne figure en triangle reportée depuis le point de cassure (cf. les flèches noires à double sens ci-dessus), me paraît désormais avéré.« 

Peut-être une opportunité de vous positionner (ou renforcer vos positions si vous avez déjà du Bitcoin en portefeuille) à bon prix ? La suite de cette analyse est ici même

… Et puisqu’on parle de Mathieu, j’en profite pour signaler qu’il vient d’aider ses lecteurs à verrouiller une prise de bénéfice partielle de +12% (sur le palladium), du jour au lendemain ! Pour recevoir vous aussi la prochaine opportunité détectée par Mathieu, cliquez ici.

02:15 Voilà qui règle le cas de la mauvaise nouvelle… alors passons à la bonne, qui concerne un secteur qui fait partie des favoris de nos rédacteurs – le cannabis médical.

Il s’est produit une – petite – révolution en la matière, en toute discrétion. Ray Blanco nous en parle dans la dernière alerte de sa lettre, NewTech Insider – il s’agit de ceci.

« L’autorisation accordée par l’Agence européenne du médicament (EMA) à l’Epidyolex, solution orale à base de cannabidiol (CBD), est une première, en matière de mise sur le marché d’un médicament sur ordonnance dérivé de cannabidoïdes.

Par ailleurs, il s’agit du seul traitement à base de CBD autorisé par l’EMA dans le traitement des syndromes de Dravet et de Lennox-Gastaut.

Or, il peut réellement modifier l’existence des patients dans la mesure où les syndromes de Dravet et de Lennox-Gastaut sont non seulement extrêmement difficiles à traiter, mais également des formes d’épilepsie potentiellement mortelles.

Pour rappel, l’Epidiolex [avec un « i »] – autorisé l’an dernier aux Etats-Unis pour le traitement des crises d’épilepsie – a généré un chiffre d’affaires de plus de 68 M$ au 2ème trimestre 2019 après le lancement de sa commercialisation fin 2018.

Sur le seul 1er semestre 2019, l’Epidiolex a généré un chiffre d’affaires de 101,9 M$.«  

03:00 Cela pourrait n’être qu’un début pour les heureux investisseurs, continue Ray :

« La Commission européenne a délivré son autorisation après réception des données émanant de quatre essais cliniques de Phase III, dont trois réalisées sur 714 patients, tous atteints des syndromes de Dravet et de Lennox-Gastaut.

Lorsque l’Epidyolex est pris en complément des traitements prévenant les crises, il réduit considérablement le nombre de ces dernières.

A mesure que de nouvelles thérapies […] seront testées en vue d’être autorisées, nous espérons également voir le cours de l’action s’envoler, l’Epidyolex étant désormais autorisé sur le marché européen.

Je vais continuer à surveiller les progrès de cette entreprise révolutionnaire et je vous tiendrai informé. »

Ray consacre d’ailleurs un service entier exclusivement à l’investissement cannabis : si cela vous tente, c’est par ici.

03:45 Et c’est tout pour aujourd’hui !

Je vais quand même terminer en vous rappelant de garder un œil sur votre boîte e-mail dans les prochains jours car… nous sommes sur le point de lancer un projet d’envergure (d’où la multiplication de réunions) : c’est une première aux Publications Agora – et j’espère que vous en ferez partie. A suivre…

Excellente soirée,

Françoise Garteiser
Les Marchés en 5 Minutes


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