Tous les gros indices parisiens se tiennent actuellement dans un mouchoir de poche avec des baisses entre 14% et 15%.
Les volumes restent faibles sur notre compartiment dans la mesure ou les gérants attendent les résultats des entreprises et surtout les prévisions pour le second semestre avant de procéder à des achats.
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L’ambitieux et historique plan de relance de la Commission européenne de 750 Mds€ paraît à la hauteur des dommages économiques colossaux suscités par la pandémie de Covid-19. Mettant à mal la thèse ô combien justifiée d’une Europe par trop frileuse, il n’a pas encore été approuvé par les Vingt-Sept. « L’accouchement » ne sera certes pas une formalité au vu du fossé qui existe entre Etats du Nord et du Sud, mais cette feuille de route va indéniablement dans le bon sens.
Il peut certes se passer encore beaucoup de choses, mais comme je l’ai déjà souligné à plusieurs reprises ces dernières semaines, les small et midcaps limitent davantage la casse que les blue chips depuis le début de l’année.
Le CAC40 accuse en effet une baisse de près de 18% à compter du 1er janvier, alors que le CAC Mid & Small a perdu 16% dans cet intervalle.
Malmené la semaine dernière et encore en léger repli hier (c’était beaucoup plus mal parti en début de séance), le CAC40 retrouve de belles couleurs en ce mardi. En hausse de 1,8% dans les premiers échanges, l’indice phare de la Bourse de Paris repasse en effet au-dessus des 4 900 points… ce qui n’empêche pas le VIX de rester à un niveau élevé.
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Comme il fallait s’y attendre, la Bourse de Paris corrige depuis hier. Rappelons toutefois que le CAC40 s’est envolé de 10% entre lundi et vendredi…
Les blue chips ont donc eu le vent en poupe, mais la remarquable tenue des places financières mondiales, nonobstant la déconnexion des investisseurs avec les douloureuses réalités macroéconomiques, a également profité aux small et midcaps. Une excellente nouvelle d’autant que notre compartiment est généralement à la traîne dans ce genre de configuration.
La Bourse de Paris éprouve en ce jeudi le besoin légitime de souffler. La consolidation est néanmoins très légère à ce stade, avec un CAC40 qui n’abandonne que 0,2% environ dans les premiers échanges et préserve le seuil des 5 000 points franchi hier.
Le coronavirus est en nette perte de vitesse en Europe, mais il continue tout de même de circuler partout dans le monde. Il subsiste de surcroît d’innombrables incertitudes sur le plan économique. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a ainsi, entre autres exemples, fait savoir hier que le PIB français reculera de 11% cette année, soit trois points de plus que prévu auparavant.
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Je vous contacte généralement une fois par semaine, mais mes alertes peuvent être plus nombreuses. Les conditions de marché, surtout par les temps qui courent, avec comme vous le savez une importante volatilité (même si l’indice VIX qui la mesure est retombé sous les 30 points, ce qui témoigne d’un apaisement en la matière), justifient néanmoins de ne surtout rien s’interdire… et de faire preuve d’une grande vigilance !
Je me permets de vous recontacter en ce lendemain de publication de numéro mensuel pour vous inviter à placer un ordre de vente sur la moitié de TF1 (FR0000054900-TFI) à 4,75 €.
Spécialiste yvelinois de l’ingénierie navale, GTT (FR0011726835-GTT) conçoit des systèmes de confinement du gaz naturel liquéfié (GNL) dans des cuves destinées soit à des navires de transport, soit à des plateformes en mer.
Le groupe a donc un coeur de métier bien précis. Surtout, il est en situation de quasi-monopole puisqu’il détient 90% des parts de marché. Chaque médaille ayant son revers, son business est toutefois grandement tributaire des cours du pétrole et du gaz. La faiblesse actuelle de ces derniers ne fait donc pas les affaires de GTT et il ne faut pas chercher plus loin les raisons du recul de 23% de l’action sur trois mois.
Alors que le CAC40 est repassé sous les 4 200 points jeudi dernier, je m’attendais à ce que le seuil symbolique des 4 000 points soit franchi à la baisse à brève échéance.
Force est d’admettre que je me suis trompé, l’indice phare ayant bondi de plus de 5% hier pour repasser au-dessus des 4 500 points. Il cède logiquement un peu de terrain en ce mardi après cette séance « faste », mais sur le fond, les investisseurs restent optimistes. Trop optimistes sans doute…
Ce n’est bien sûr pas une mince affaire, mais les analystes s’emploient actuellement à modéliser les prévisions de bénéfices aux titres de 2020 et 2021. Les experts de l’Insee eux-mêmes ont encore bien du mal à mesurer l’impact économique de la pandémie et la mission de tous ces spécialistes relève de la gageure.
Ceux qui regardent mes vidéos quotidiennes – j’en profite pour les en remercier vivement ! – le savent : je m’attends à un repli du CAC40, « coupable » d’être monté trop vite et trop tôt. De mon point de vue, l’indice phare devrait corriger et revenir sur des niveaux de 4 000 voire 3 900 points. C’est d’ailleurs tout le sens de mon conseil de conservation des BX4, ces trackers baissiers que nous avons achetés le 20 avril dernier et qui représentent 5% de nos encours.
Nous n’en avions plus l’habitude, mais c’est un fait : en cette période chaotique sur les marchés actions, les small et midcaps font mieux que les grosses capitalisations à Paris. Le CAC Mid & Small et le CAC Small cèdent en effet 22% chacun depuis le 1er janvier, tandis que le CAC40 a reculé de près de 25% sur la période.