Spécialiste yvelinois de l’ingénierie navale, GTT (FR0011726835-GTT) conçoit des systèmes de confinement du gaz naturel liquéfié (GNL) dans des cuves destinées soit à des navires de transport, soit à des plateformes en mer.
Le groupe a donc un coeur de métier bien précis. Surtout, il est en situation de quasi-monopole puisqu’il détient 90% des parts de marché. Chaque médaille ayant son revers, son business est toutefois grandement tributaire des cours du pétrole et du gaz. La faiblesse actuelle de ces derniers ne fait donc pas les affaires de GTT et il ne faut pas chercher plus loin les raisons du recul de 23% de l’action sur trois mois.
Ce n’est bien sûr pas une mince affaire, mais les analystes s’emploient actuellement à modéliser les prévisions de bénéfices aux titres de 2020 et 2021. Les experts de l’Insee eux-mêmes ont encore bien du mal à mesurer l’impact économique de la pandémie et la mission de tous ces spécialistes relève de la gageure.
Nous n’en avions plus l’habitude, mais c’est un fait : en cette période chaotique sur les marchés actions, les small et midcaps font mieux que les grosses capitalisations à Paris. Le CAC Mid & Small et le CAC Small cèdent en effet 22% chacun depuis le 1er janvier, tandis que le CAC40 a reculé de près de 25% sur la période.
Animal Crossing , Final Fantasy VII Remake … Un peu ésotériques de prime abord, ces noms ne vous disent peut-être rien, à moins d’être un amateur de jeux vidéo.
Développés par FOCUS HOME INTERACTIVE (FR0012419307-ALFOC), ces deux opus figurent parmi les jeux vidéo plébiscités depuis le début du confinement.
Animal Crossing, Final Fantasy VII Remake… Un peu ésotériques de prime abord, ces noms ne vous disent peut-être rien, sauf si vous êtes un amateur de jeux vidéo.
Développés par FOCUS HOME INTERACTIVE (FR0012419307-ALFOC), ces deux opus figurent parmi les jeux vidéo plébiscités depuis le début du confinement.
J’espère que vous vous portez aussi bien que possible, alors que les modalités du retour à la normale progressif qu’envisage le gouvernement à compter du 11 mai prochain s’apprêtent à être dévoilées.
Sur le front des marchés actions, le CAC40 poursuit sur sa lancée ce mardi et pousse fort en ce début d’après-midi. En hausse de près de 1,9%, le voici même revenu au contact des 4 600 points !
Berceau du Covid-19, la Chine a pour sa part déploré un décrochage inédit de 6,8% de son PIB au premier trimestre, lequel ne sera probablement pas compensé au deuxième trimestre malgré une multiplication des mesures de soutien à l’économie.
Les prévisions économiques sont par ailleurs catastrophiques, à l’image de la prophétie du FMI d’une chute de 7,5% du PIB de l’eurozone et de 3% dans le monde.
En fait, si les marchés tiennent, c’est parce que le fameux TINA (acronyme de « There is no alternative ») l’emporte dans l’esprit d’opérateurs rassurés par les initiatives récentes des banques centrales et par les investissements massifs des Etats pour soutenir l’économie, avec pour corollaire une remise des règles budgétaires aux calendes grecques.
Le mieux est l’ennemi du bien, et cet adage me paraît d’autant plus vrai en cette période particulièrement tumultueuse.
Si un plateau du nombre de cas quotidiens de malades du Covid-19 semble s’esquisser en France, si l’Espagne et l’Italie pourraient avoir mangé leur pain noir, si les concours des déconfinements commencent à se dessiner en Europe, on aurait néanmoins tort de croire que le pire de la crise sanitaire est passé.
C’est ce qu’on appelle une plus-value express ! Un gain XXL bienvenu surtout étant donné le contexte boursier actuel, pour le moins tumultueux.
Pour rappel, je vous ai recommandé hier d’acheter MICROWAVE VISION (FR0004058949-ALMIC) autour de 16,50/17,50 € et pour 3% du portefeuille.
Le regain d’optimisme des investisseurs s’explique de mon point de vue par la stabilisation voire la régression du nombre de cas infectés dans plusieurs pays européens durement touchés, en particulier l’Espagne et l’Italie. Une bonne nouvelle qui prend le pas sur l’irrésistible augmentation du nombre de cas aux Etats-Unis et sur les statistiques macroéconomiques peu reluisantes parues ces derniers jours (je fais ici référence aux chiffres de l’emploi américain et aux PMI des services dans l’eurozone).
Le 10 janvier dernier, j’ai pris la décision de vous recommander de vendre VISIATIV (FR0004029478ALVIV) à 28,50 €. Sachant que ce spécialiste lyonnais de la transformation numérique des entreprises avait rejoint notre portefeuille à 23,50 € trois mois auparavant, il en a découlé une plus-value de 21,3%.
Le 10 janvier dernier, j’ai pris la décision de vous recommander de vendre VISIATIV (FR0004029478-ALVIV) à 28,50 €. Sachant que ce spécialiste lyonnais de la transformation numérique des entreprises avait rejoint notre portefeuille à 23,50 € trois mois auparavant, il en a découlé une plus-value de 21,3%
Ne nous voilons pas la face : l’heure est gravissime. Pas de catastrophisme, ce n’est que la triste réalité et le Covid-19 requiert une mobilisation planétaire. Des mesures hors norme, sans précédent dans l’histoire contemporaine, ont d’ores et déjà été prises, et un confinement d’au moins un mois et demi sera vraisemblablement annoncé par le président Emmanuel Macron dans les heures à venir.
Se connecter Entrez vos informations ci-dessous. IDENTIFIANT OU ADRESSE EMAIL MOT DE PASSE Se souvenir de moi Mot de passe…
Se connecter Entrez vos informations ci-dessous. IDENTIFIANT OU ADRESSE EMAIL MOT DE PASSE Se souvenir de moi Mot de passe…
Se connecter Entrez vos informations ci-dessous. IDENTIFIANT OU ADRESSE EMAIL MOT DE PASSE Se souvenir de moi Mot de passe…
C’est peu dire que les valeurs de la cote parisienne sont malmenées ces jours-ci. Au moment où j’écris ces lignes, autour de 16h30, le CAC40, qui avait déjà plongé de près de 4% hier, abandonne encore 1,5% pour revenir sur des niveaux de 5 700 points.
Alors que janvier a été assez satisfaisant en termes de collecte, avec plus de 80 M€ investis dans les fonds small et mid, le mois en cours a plutôt mal démarré sur ce plan. Au moment où j’écris ces lignes, la décollecte atteint en effet 15 M€.
Mifid 2… Cette directive donne de l’urticaire à de nombreux professionnels des marchés et plus particulièrement aux spécialistes des petites et
moyennes capitalisations.
On peut les comprendre puisque ces derniers ont enregistré des baisses de leur activité de l’ordre de 40% depuis son instauration en 2018.
Bonne nouvelle concernant ATEME (FR0011992700-ATEME), qui représente 5% de nos encours (avec un premier achat à hauteur de 3% en août 2017, ce qui fait du spécialiste de la compression vidéo l’une de nos plus anciennes lignes, et un renforcement pour 2% supplémentaires en décembre 2018) et dont le titre se reprend bien consécutivement à l’annonce jeudi d’une progression de 18% du chiffre d’affaires annuel à 66,4 M€ (+14 % à devises constantes).