La deuxième quinzaine du mois d’octobre n’a pas été de tout repos pour les investisseurs, mais ce n’est rien par rapport à ce qui les attend.
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La deuxième quinzaine du mois d’octobre n’a pas été de tout repos pour les investisseurs, mais ce n’est rien par rapport à ce qui les attend.
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Avec des actions crevant le plafond en début de semaine, je continue de voir plein de traders se demander pourquoi les actions affichent une grande solidité face à la probabilité de plus en plus grande d’un raz-de-marée démocrate (à savoir, une Chambre des représentants, un Sénat et une Maison-Blanche contrôlés par les démocrates).
Durant les quatre prochaines semaines, il ne sera question que de l’élection présidentielle américaine. Il n’y aura pas moyen d’y échapper.
Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais une élection est imminente, aux États-Unis. Et d’après ce qu’on dit, elle serait super importante.
Le nouveau venu dans le portefeuille du Top 1% Altucher est unique – pour plusieurs raisons. L’entreprise que je suis sur le point de vous présenter n’a pas grand-chose à voir avec la Silicon Valley, elle est rarement associée à la transition numérique et ce n’est pas une entreprise high tech.
Les actions ont enregistré une médiocre performance, jeudi dernier. Je le sais, et vous le savez. Mais si vous observez un graphique quotidien du S&P 500 – et que vous regardez bien – vous constaterez qu’elles ont en fait progressé au cours de ces dernières semaines.
Je vous dis depuis quelques semaines que les titres technologiques sont excessivement prisés, détenus et suivis. Je vous ai également fait part des derniers résultats de l’enquête Investors Intelligence – laissant entendre l’extrême probabilité d’un sell-off à court terme.
L’une des entreprises de notre portefeuille a publié ses résultats du deuxième trimestre mercredi soir – et je dois dire, malheureusement, que l’équipe dirigeante nous a déçus.
Mercredi dernier, Investors Intelligence a publié son dernier sondage auprès des rédacteurs de lettres d’informations boursières : le nombre de rédacteurs haussiers a grimpé à 60%, par rapport à 59,2% la semaine précédente.
Joe Biden a décidé de choisir Kamala Harris, sénatrice de Californie, pour partager l’affiche de la candidature démocrate à la présidentielle américaine de novembre. Tous les médias en parlent. Est-ce pour autant important pour Wall Street ?
Lors des décennies précédentes, les investisseurs « value » étaient considérés comme des investisseurs peu enclins à prendre des risques.
Les risques augmentent, mais Wall Street fait semblant de ne rien voir : et je ne suis pas le seul à évoquer la persistance de nouveaux cas de COVID-19.
Cette semaine, j’ai quelques nouvelles recommandations à vous faire, concernant notre portefeuille. Mais avant de les aborder, parlons un peu des marchés…
Les actions sont dans le rouge actuellement… mais ça, vous le saviez déjà. Parlons donc plutôt des raisons de la baisse.
Mais, avant de vous présenter le nouveau venu dans notre portefeuille, je voudrais que nous ajustions certaines de nos positions ouvertes.
Le top 1% des investisseurs ne perdent jamais leur temps à essayer de deviner le moment où le cours d’une action atteindra son sommet ou touchera le fond.
Répétez après moi : la Bourse n’est pas l’économie. La Bourse n’est pas l’économie. Ce n’est pas très logique, je sais. Mais c’est la vérité.
En février, je vous ai présenté Fastly Inc. (NYSE : FSLY). Et en quatre mois, vos gains concernant ce placement ont dépassé les 100%.
