Fortement secoué en début de semaine et de nouveau ce jeudi en raison du regain d’incertitudes quant aux répercussions économiques et sanitaires du coronavirus, le CAC40 affiche une perte de 1,6% depuis le 1er janvier. C’est un peu mieux que le CAC Small, qui cède pour sa part 2,1% environ à compter du début de l’année.
Alors que la Bourse de Paris a débuté la semaine du (très) mauvais pied, le CAC40 ayant clôturé en baisse de quelque 2,7%, repassant ainsi en dessous des 5 900 points, nervosité et volatilité prévalent en ce mardi. Il faut dire que les répercussions du coronavirus, tant sur la santé des populations, en Chine et à l’international, que sur l’économie, sont encore bien difficiles à évaluer à ce stade.
La Bourse de Paris cède beaucoup de terrain en ce mardi, avec un CAC40 revenu sur des niveaux de 6 000 points. Les investisseurs sont passablement inquiets alors qu’un virus issu de la famille du Sras (Syndrome respiratoire aigu sévère) a fait un quatrième mort cette nuit en Chine et que la presse publique a fait état de 291 personnes contaminées à la date d’hier.
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Qui l’eût cru ? Il y a encore deux ans, l’économie allemande évoluait sur un trend annuel de croissance de 2,5% et si certains économistes avaient prophétisé une quasi-récession à l’époque, ils auraient au mieux été pris pour des incompétents, au pire pour des fous.
Et pourtant… La première économie de l’eurozone est confrontée depuis de longs mois à un très sérieux trou d’air, avec une hausse de seulement 0,6% de son PIB l’an passé et une croissance qui ne devrait pas dépasser 1% cette année.
Nous avons récemment placé un ordre de vente stop à 47 € sur FNAC DARTY (FR0011476928-FNAC) et bien nous en a pris au regard du comportement du titre en ce vendredi.
Evénement géopolitique majeur de ce début d’année, le regain de tensions entre les Etats-Unis et l’Iran à la suite de l’assassinat du général Soleimani a pris une tournure tragique avec le crash d’un Boeing 737 ukrainien la semaine dernière. Une regrettable méprise de Téhéran, qui a fini par l’admettre ce week-end, a entraîné la destruction de l’appareil et provoqué la mort de 176 personnes.
2,86 Mds€. Les montants levés l’an dernier sur le marché parisien dans le cadre des introductions en Bourse dépassent largement le 1,1 Md€ de 2018, un piètre millésime en la matière, mais les chiffres sont parfois trompeurs…. A elle seule, l’IPO – très réussie – de La Française des Jeux a en effet pesé 1,8 Md€, tandis que Verallia a levé 800 M€. En excluant ces deux opérations, les montants ont reculé d’environ 51% entre 2018 et 2019 à seulement… 93 M€, une vraie contre-performance.
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La semaine démarre bien mal pour les marchés actions. Au moment où j’écris ces lignes, l’ensemble des Bourses européennes sont en effet en net repli, la faute à une situation devenue explosive entre les Etats-Unis et l’Iran (j’aurai l’occasion d’y revenir prochainement).
La semaine s’annonce éprouvante pour les marchés actions. Au moment où j’écris ces lignes, l’ensemble des Bourses européennes sont en effet en net repli, la faute à une situation devenue explosive entre les Etats-Unis et l’Iran (j’aurai l’occasion d’y revenir très prochainement).
2019 restera une année faste pour les marchés actions. A Paris, le CAC40 est finalement allé « chercher » le cap rond des 6 000 points, traçant sa route à la serpe. L’indice phare a touché un plus haut de douze ans lundi et cote 6 032 points au moment où j’écris ces lignes, autour de 13h15. Il enregistre une progression de l’ordre de 1,1% sur la semaine. Surtout, le CAC40 engrange près de 28% à compter du 1er janvier, une performance exceptionnelle.
Malheureusement, la débâcle s’est poursuivie pour IPSEN (FR0010259150-IPN), qui connaît une fin d’année particulièrement difficile. Etrillé le 6 décembre dernier en Bourse à la suite de la suspension ordonnée par la FDA (Food and Drug Administration) américaine de deux études évaluant le candidat médicament expérimental Palovarotène, sur lequel il fonde beaucoup d’espoirs, le groupe pharmaceutique est encore en net repli ce mercredi.
La semaine close a été marquée par la cession de la moitié de NANOBIOTIX (FR0011341205-NANO), qui demeure la plus ancienne ligne de notre portefeuille. Nous vous invitons à conserver le solde alors que le groupe vient de se voir attribuer le prix Galien France 2019 pour son produit innovant Hensify.
Parmi les grandes interrogations qui se posent pour le début de l’année 2020, après un excellent cru 2019 (du moins pour la plupart des grosses capitalisations boursières occidentales), figure notamment la capacité de l’économie américaine à rester sur un trend de croissance de 2%.
La semaine boursière a été marquée par de fortes variations auxquelles nous n’étions plus habitués. Le CAC40 a ainsi reculé sous les 5 700 points lundi dernier, mais a terminé la séance de vendredi à 5 872 points. Alors que l’actualité est plutôt calme sur le front microéconomique, la thématique de la guerre commerciale continue de faire la une de l’actualité financière et boursière.
Les performances des indices qui regroupent les sociétés de notre compartiment ne sont pas déshonorantes en soi. Le CAC Small a en effet progressé de plus de 10% depuis le début de l’année, tandis que le CAC Mid & Small s’est adjugé environ 16%.
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Compte tenu de la fébrilité des marchés actions, avec un CAC40 qui a décroché de 2% hier et cédait encore 1,2% ce mardi à 1h30 de la cloche, et surtout des grandes difficultés de la filière automobile dans son ensemble, il me semble préférable de sortir de FFP (FR0000064784-FFP) aux cours actuels.
La semaine close aura été assez calme sur les indices boursiers, avec de surcroît une volatilité réduite en raison notamment de la fermeture du marché américain pour Thanksgiving. Au chapitre microéconomique, la thématique des fusions-acquisitions revient en revanche en force. LVMH a ainsi frappé un très grand coup en lançant une OPA sur Tiffany. Le géant du luxe a mis 16,2 Mds$ sur la table pour racheter le joaillier américain et réaliser la plus importante opération de croissance externe de son histoire. Ce faisant, il concurrencera frontalement Richemont, propriétaire entre autres de la marque Cartier.