Le coronavirus est en nette perte de vitesse en Europe, mais il continue tout de même de circuler partout dans le monde. Il subsiste de surcroît d’innombrables incertitudes sur le plan économique. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a ainsi, entre autres exemples, fait savoir hier que le PIB français reculera de 11% cette année, soit trois points de plus que prévu auparavant.
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Je vous contacte généralement une fois par semaine, mais mes alertes peuvent être plus nombreuses. Les conditions de marché, surtout par les temps qui courent, avec comme vous le savez une importante volatilité (même si l’indice VIX qui la mesure est retombé sous les 30 points, ce qui témoigne d’un apaisement en la matière), justifient néanmoins de ne surtout rien s’interdire… et de faire preuve d’une grande vigilance !
Je me permets de vous recontacter en ce lendemain de publication de numéro mensuel pour vous inviter à placer un ordre de vente sur la moitié de TF1 (FR0000054900-TFI) à 4,75 €.
Spécialiste yvelinois de l’ingénierie navale, GTT (FR0011726835-GTT) conçoit des systèmes de confinement du gaz naturel liquéfié (GNL) dans des cuves destinées soit à des navires de transport, soit à des plateformes en mer.
Le groupe a donc un coeur de métier bien précis. Surtout, il est en situation de quasi-monopole puisqu’il détient 90% des parts de marché. Chaque médaille ayant son revers, son business est toutefois grandement tributaire des cours du pétrole et du gaz. La faiblesse actuelle de ces derniers ne fait donc pas les affaires de GTT et il ne faut pas chercher plus loin les raisons du recul de 23% de l’action sur trois mois.
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Alors que le CAC40 est repassé sous les 4 200 points jeudi dernier, je m’attendais à ce que le seuil symbolique des 4 000 points soit franchi à la baisse à brève échéance.
Force est d’admettre que je me suis trompé, l’indice phare ayant bondi de plus de 5% hier pour repasser au-dessus des 4 500 points. Il cède logiquement un peu de terrain en ce mardi après cette séance « faste », mais sur le fond, les investisseurs restent optimistes. Trop optimistes sans doute…
Ce n’est bien sûr pas une mince affaire, mais les analystes s’emploient actuellement à modéliser les prévisions de bénéfices aux titres de 2020 et 2021. Les experts de l’Insee eux-mêmes ont encore bien du mal à mesurer l’impact économique de la pandémie et la mission de tous ces spécialistes relève de la gageure.
Ceux qui regardent mes vidéos quotidiennes – j’en profite pour les en remercier vivement ! – le savent : je m’attends à un repli du CAC40, « coupable » d’être monté trop vite et trop tôt. De mon point de vue, l’indice phare devrait corriger et revenir sur des niveaux de 4 000 voire 3 900 points. C’est d’ailleurs tout le sens de mon conseil de conservation des BX4, ces trackers baissiers que nous avons achetés le 20 avril dernier et qui représentent 5% de nos encours.
Nous n’en avions plus l’habitude, mais c’est un fait : en cette période chaotique sur les marchés actions, les small et midcaps font mieux que les grosses capitalisations à Paris. Le CAC Mid & Small et le CAC Small cèdent en effet 22% chacun depuis le 1er janvier, tandis que le CAC40 a reculé de près de 25% sur la période.
Certes, le CAC40 n’a pas encore entamé sa phase de consolidation, qui n’en semble pas moins inévitable et que nous avons voulu anticiper via l’achat de BX4 (FR0010411884), mais l’indice phare de la Bourse de Paris piétine avec un gain de seulement 0,6% au titre de la semaine écoulée.
C’est toujours le grand écart sur les marchés et la semaine close aura été marquée par une très forte volatilité, avec un écart considérable de 350 points entre le plus haut et le plus bas sur le CAC40.
Le week-end prolongé n’a pas rassuré les investisseurs et la Bourse de Paris ne devrait récupérer ce mardi qu’une partie des 4,2% cédés hier. Il faut dire que la pandémie de Covid-19 continue de « charrier » de nombreuses incertitudes et que certaines statistiques sont littéralement affolantes.
Animal Crossing , Final Fantasy VII Remake … Un peu ésotériques de prime abord, ces noms ne vous disent peut-être rien, à moins d’être un amateur de jeux vidéo.
Développés par FOCUS HOME INTERACTIVE (FR0012419307-ALFOC), ces deux opus figurent parmi les jeux vidéo plébiscités depuis le début du confinement.
Animal Crossing, Final Fantasy VII Remake… Un peu ésotériques de prime abord, ces noms ne vous disent peut-être rien, sauf si vous êtes un amateur de jeux vidéo.
Développés par FOCUS HOME INTERACTIVE (FR0012419307-ALFOC), ces deux opus figurent parmi les jeux vidéo plébiscités depuis le début du confinement.
J’espère que vous vous portez aussi bien que possible, alors que les modalités du retour à la normale progressif qu’envisage le gouvernement à compter du 11 mai prochain s’apprêtent à être dévoilées.
Sur le front des marchés actions, le CAC40 poursuit sur sa lancée ce mardi et pousse fort en ce début d’après-midi. En hausse de près de 1,9%, le voici même revenu au contact des 4 600 points !
La pandémie de Covid-19 est bien sûr très loin d’être sous contrôle et une deuxième vague reste possible tant que la fameuse immunité collective ne sera pas atteinte. Néanmoins, la situation sanitaire commence enfin à s’améliorer sur le Vieux Continent.
J’espère que vous vous portez bien depuis lundi et notre précédente alerte dans laquelle je vous suggérais d’investir dans le BX4 (FR0010411884), ce tracker baissier de levier 2 qui permet de jouer la baisse du CAC40. Alors qu’il a fait son retour dans notre portefeuille sur des niveaux de 4,20 € et représente 5% de nos encours, je vous recommande de le conserver précieusement, sachant que le marché parisien, qui croule sous les mauvaises nouvelles économiques, devrait à mon sens fortement corriger à brève échéance.
Berceau du Covid-19, la Chine a pour sa part déploré un décrochage inédit de 6,8% de son PIB au premier trimestre, lequel ne sera probablement pas compensé au deuxième trimestre malgré une multiplication des mesures de soutien à l’économie.
Les prévisions économiques sont par ailleurs catastrophiques, à l’image de la prophétie du FMI d’une chute de 7,5% du PIB de l’eurozone et de 3% dans le monde.
En fait, si les marchés tiennent, c’est parce que le fameux TINA (acronyme de « There is no alternative ») l’emporte dans l’esprit d’opérateurs rassurés par les initiatives récentes des banques centrales et par les investissements massifs des Etats pour soutenir l’économie, avec pour corollaire une remise des règles budgétaires aux calendes grecques.
Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises ces dernières semaines, on assiste à un choc tant du côté de l’offre que de celui de la demande, alors qu’en Chine le décrochage de 6,8% du PIB au premier trimestre ne sera probablement pas compensé au deuxième trimestre, par-delà une multiplication des mesures de soutien à l’économie.