Comme si la BCE ne suffisait pas…En effet, pour ce qui des annonces de la banque centrale et de Mario Draghi, je n’ai rien trouvé de très innovant par rapport aux attentes moyennes des économistes.
Alors que l’indice allemand aligne une septième séance de hausse d’affilée vers la « zone tampon » des 12500 points (cap correspondant à la fois au contact avec une oblique descendante, visible en pointillés noirs (…)
En réponse aux bonnes « dispositions » annoncées par Pékin hier matin, Washington a renvoyé la pareille en reportant au 15 octobre la nouvelle hausse de tarifs douaniers (initialement promis poour le 1er octobre).
Ce matin, la Chine annonçait une liste de produits US devant être exemptés de nouveaux droits de douane. En amont de la BCE, ce signe d’apaisement me semblait être un bon catalyseur de sursaut en ce mercredi.
Malgré les annonces de la Chine, la consolidation du baril (malgré ici aussi la parution de stocks hebdomadaires en baisse plus marquée que prévu) pourrait freiner l’impulsion que j’attendais vers le cap rond des 3000 points.
Alors qe l’indice élargi US a tenu hier le haut de son ancienne « boîte » horizontale (visible en retangle bleu clair), la possibilité d’un simple pull back est posée.
Depuis mercredi dernier, à la faveur d’une légère remontée des taux longs, une rotation sectorielle s’amorce.
Alors que le breakout haussier ne part pas pour être au programme en ce début de semaine, on sort ici. A tout à l’heure.
Dans des volumes toujours très faibles, les marges de fluctuations demeurent à nouveau très limitées (à peine 600 millions d’euros échangés sur le CAC par exemple en début d’après-midi) en attendant la BCE.
Alors que le titre montre de légers signes de regains de force en ce début de semaine, on va finalement prendre cette pose sur mid cap ici.
Si le S&P500 était resté enfermé dans sa « boîte horizontale » de court terme le mois dernier, à la faveur d’une rencontre prochaine entre les représentants de Pékin et de Washington, et d’indicateurs macroéconomiques meilleurs que prévu ces derniers jours, une poursuite de la hausse se met en place.
Malgré les hésitations de Wall Street, à l’image de la platitude du CAC à proximité des 5600 points, il ne se passe à nouveau pas grand-chose en ce vendredi. A tout à l’heure.
Alors que l’indice italien teste le haut de son canal ascendant de court terme (visible en pointilés noirs sur mon graphique journalier ci-dessous), on va se placer à la vente ici à l’approche des sommets afin de viser un comblement du gap ouvert mercredi matin.
En partant en congés le mois dernier, je dois admettre que je ne pensais pas revoir le CAC déjà renouer avec les 5600 points moins d’un mois plus tard.
Sur les indices, comme la veille déjà, une nouvelle poussée overnight a eu lieu (après le PMI des services en Chine hier matin, la catalyseur réside cette fois dans la reprise des négociations commerciales sino-américaines).
Comme hier, pas grand chose d’exploitable en séance européenne. Car à l’image de l’ouverture en gap sur les indices peu évidente à trader (pour cause de marges de fluctuations étroites ensuite), de nombreuses actions ouvraient déjà en nette hausse dès les premiers échanges (rendant peu propice le risk/reward de tout achat).
Avant le Beige Book ce soir, peu d’évolution au final sur la paire. A tout à l’heure.
Alors que les cours consolident dans un petit canal descendant horaire (visible en pointillés noirs sur mon graphique intraday ci-dessous), le tout sous une importante région horizontale (pivot visible cette fois en rectangle bleu clair), on se place à l’achat ici dans l’anticipation d’un breakout haussier à suivre étant donné l’humeur « risk on » du jour sur les actifs à risque ce mercredi.
Une fébrilité, certes. Mais somme toute relativement contenue à ce stade vu le contexte (incertitudes sur le Brexit + dépôt de plainte de la Chine auprès de l’OMC contre les Etats-Unis).
Malgré la rechute du baril ou encore l’ouverture rouge de Boeing, on va reprendre nos billes ici pour le moment. A tout à l’heure.