Alors que Bloomberg relayait ce week-end des informations selon lesquelles Pékin serait réticent à l’idée d’un accord commercial « global », cela ne semble pas émouvoir plus que cela les opérateurs en ce début de semaine.
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Alors que les marchés actions ont été assez durement secoués la semaine dernière, la faute essentiellement à deux indicateurs décevants outre-Atlantique (l’ISM manufacturier et l’ISM des services, qui ont l’un et l’autre fortement reculé au titre du mois écoulé, ce qui a considérablement renforcé les craintes d’un ralentissement de la première économie mondiale), l’une de nos valeurs, EKINOPS (FR0011466069-EKI), à laquelle j’avais attribué la note globale de 15/20 mi-juillet, tire son épingle du jeu.
Les marchés sont plutôt tumultueux ces derniers temps et les investisseurs sont préoccupés par la survenance éventuelle d’une prochaine récession. Les données économiques, tantôt bonnes, tantôt mauvaises, font fluctuer les cours à coup de grands balanciers.
Dans ce contexte, il est intéressant de constater la bonne tenue du secteur des REITs qui flirte avec ses plus hauts. Les fonds immobiliers, au même titre que l’or, font office de valeur refuge face aux incertitudes. Mais à la différence du métal jaune, les REITs rapportent du rendement (l’or coûte même en frais de stockage…) !
Rappelez-vous, mon équipe et moi lisons tout ce que vous nous envoyez, y compris les questions concernant certains scénarios d’investissement spécifiques, notre Indicateur Jour de Prime ou bien notre stratégie en général.
Comme je vous le disais vendredi, je conserve une bonne dose de méfiance envers les mid et smallcaps. Au cas par cas, certains dossiers gardent cependant à mes yeux un intérêt tout particulier et c’est notamment le cas de Coface (FR0010667147-COFA).
La semaine close n’a pas été de tout repos pour les marchés actions. Le CAC40 a en effet cédé 2,7% sur la semaine, plombé par deux séances épouvantables mardi et mercredi à la suite de la publication d’indicateurs macroéconomiques pour le moins préoccupants de l’autre côté de l’Atlantique.
La communauté financière n’ignorait rien du ralentissement économique chinois, des difficultés de l’eurozone (avec, pour rappel, la quasi-certitude que l’Allemagne basculera en récession au terme du troisième trimestre), mais elle n’était manifestement pas préparée au fait que la machine américaine se grippe, à tout le moins pas dans ces proportions.
« Quelles actions sont les meilleures pour vendre des options de vente ? » On me pose souvent cette question, et c’est une excellente question.
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Cher lecteur, Félicitations encore une fois pour votre patience. Le montage sur JWN, qui était en perte lors de notre…
Après le rebond amorcé depuis jeudi, on va se placer à la vente en ce début de semaine afin de viser un petit reflux vers les 2900 points. L’invalidation est située en cas de remontée vers les niveaux de mardi (début de l’accélération baissière post ISM manufacturier).
« Octobre est un mois particulièrement dangereux pour spéculer en Bourse. Mais il y en a d’autres : juillet, janvier, septembre, avril,…
Vendredi dernier dans ces colonnes, je vous parlais de cette image de marchés prenant l’escalier pour monter mais l’ascenseur pour descendre. Et bien cela n’a pas manqué. Avec un peu plus d’un mois de hausse effacé en moins de 48h.
Malgré l’attaque sur les métaux précieux après 14h30, la nouvelle résistance du dérivé en cette fin de semaine va nous conduire à ne pas insister. A tout à l’heure.
On va y revenir, sur un levier un peu moindre toutefois dans l’immédiat. Stop sur les plus hauts.
Sans les allemands (Francfort étant fermé pour la fête de la réunification), étant donné le décrochage d’hier, j’ai jugé préférable de me concentrer sur la gestion de nos poses d’hier.
Après l’ISM des services, on met à profit le nouveau décrochage sous les 107 JPY pour prendre le reste de nos gains.
Alors que, dans le contexte de retour de l’aversion au risque, l’accélération baissière escomptée suit bien également ici sous les 107 JPY, on en profite pour sécuriser un second gain ce jeudi (+10%).
Cher lecteur, Les applications de livraison de repas, largement accessibles sur smartphone, sont en train d’intensifier la concurrence dans le…
